Partis avec de grands espoirs au Caire, les Verts sont finalement rentrés bredouilles de leur voyage en Egypte, en ratant leur objectif, à savoir la qualification pour le Mondial français 2017. Partis avec de grands espoirs au Caire, les Verts sont finalement rentrés bredouilles de leur voyage en Egypte, en ratant leur objectif, à savoir la qualification pour le Mondial français 2017. Les hommes de Salah Bouchekriou n'ont rien pu faire pour éviter cette sortie par la petite porte. Champion d'Afrique en titre, le sept algérien se contente de la quatrième place après sa défaite face à l'Angola lors du match du classement. Les Algériens étaient K.-O. debout. Ils ont logiquement quitté ce rendezvous égyptien d'envergure. Il faut avouer que les coéquipiers de Chahbour n'ont été que l'ombre d'euxmêmes au Caire et n'ont pratiquement rien fait pour espérer décrocher l'un des trois billets qualificatifs pour la prochaine Coupe du monde 2017 en France. Avec cette médiocre participation, les Algériens sont appelés encore une fois à revoir leur copie. Une piètre participation face à une équipe d'Angola, loin de constituer un foudre de guerre, suscite encore des interrogations dans l'entourage algérien. Certes, la sélection algérienne de handball n'avait pas les jeux Olympiques comme objectif, mais elle aurait pu montrer un visage beaucoup meilleur. Rien n'a changé, donc, pour cette formation emmenée par le technicien algérien Salah Bouchekriou. La nomination de Bouchekriou, moins de quatre mois avant le début de la compétition et le programme de préparation des Verts, trés contesté, ont fini par achever les derniers espoirs de conserver le titre continental décroché en 2014 à Alger. Si certains observateurs justifient cet échec par la mauvaise préparation de l'équipe, d'autres sont catégoriques et confirment que le sport algérien a besoin de réformes. Cette sortie ratée commence d'ores et déjà à faire couler beaucoup d'encre. Le technicien Salah Bouchekriou avait déjà confirmé qu'il n'a pas de baguette magique. Ce technicien qui a été rappelé par la Fédération algérienne de handball a dû composer son équipe avec des jeunes. Les deux stages effectués en Serbie et en Slovénie n'étaient pas vraiment suffisants pour réaliser une bonne coupe d'Afrique. « Le miracle n'a pas eu lieu. Nous ne pouvons pas faire mieux. Avec cette cascade de blessés et ces jeunes qui manquent d'expérience, il ne faut pas s'attendre à grand-chose. Nous avons eu l'occasion face à l'Angola, mais on ne l'a pas saisie. Beaucoup de chose restent à faire dans l'avenir », a indiqué le sélectionneur national Salah Bouchekriou. Cette piètre prestation de l'équipe nationale en terre égyptienne ne peut que témoigner de la politique de bricolage qui est en train de miner une discipline qui a tant donné au sport national. Il y a lieu de signaler que cette sélection n'a pas été regroupée depuis plusieurs mois. C'est le laisser-aller total et les responsables du handball algérien sont seuls responsables de cette situation catastrophique du handball algérien. Encore des enseignements pour les responsables de la petite balle algérienne à leur tête le président Saïd Bouamra qui n'a même pas jugé utile de se déplacer avec l'équipe en Egypte. Les hommes de Salah Bouchekriou n'ont rien pu faire pour éviter cette sortie par la petite porte. Champion d'Afrique en titre, le sept algérien se contente de la quatrième place après sa défaite face à l'Angola lors du match du classement. Les Algériens étaient K.-O. debout. Ils ont logiquement quitté ce rendezvous égyptien d'envergure. Il faut avouer que les coéquipiers de Chahbour n'ont été que l'ombre d'euxmêmes au Caire et n'ont pratiquement rien fait pour espérer décrocher l'un des trois billets qualificatifs pour la prochaine Coupe du monde 2017 en France. Avec cette médiocre participation, les Algériens sont appelés encore une fois à revoir leur copie. Une piètre participation face à une équipe d'Angola, loin de constituer un foudre de guerre, suscite encore des interrogations dans l'entourage algérien. Certes, la sélection algérienne de handball n'avait pas les jeux Olympiques comme objectif, mais elle aurait pu montrer un visage beaucoup meilleur. Rien n'a changé, donc, pour cette formation emmenée par le technicien algérien Salah Bouchekriou. La nomination de Bouchekriou, moins de quatre mois avant le début de la compétition et le programme de préparation des Verts, trés contesté, ont fini par achever les derniers espoirs de conserver le titre continental décroché en 2014 à Alger. Si certains observateurs justifient cet échec par la mauvaise préparation de l'équipe, d'autres sont catégoriques et confirment que le sport algérien a besoin de réformes. Cette sortie ratée commence d'ores et déjà à faire couler beaucoup d'encre. Le technicien Salah Bouchekriou avait déjà confirmé qu'il n'a pas de baguette magique. Ce technicien qui a été rappelé par la Fédération algérienne de handball a dû composer son équipe avec des jeunes. Les deux stages effectués en Serbie et en Slovénie n'étaient pas vraiment suffisants pour réaliser une bonne coupe d'Afrique. « Le miracle n'a pas eu lieu. Nous ne pouvons pas faire mieux. Avec cette cascade de blessés et ces jeunes qui manquent d'expérience, il ne faut pas s'attendre à grand-chose. Nous avons eu l'occasion face à l'Angola, mais on ne l'a pas saisie. Beaucoup de chose restent à faire dans l'avenir », a indiqué le sélectionneur national Salah Bouchekriou. Cette piètre prestation de l'équipe nationale en terre égyptienne ne peut que témoigner de la politique de bricolage qui est en train de miner une discipline qui a tant donné au sport national. Il y a lieu de signaler que cette sélection n'a pas été regroupée depuis plusieurs mois. C'est le laisser-aller total et les responsables du handball algérien sont seuls responsables de cette situation catastrophique du handball algérien. Encore des enseignements pour les responsables de la petite balle algérienne à leur tête le président Saïd Bouamra qui n'a même pas jugé utile de se déplacer avec l'équipe en Egypte.
