Le gouvernement accuse les armateurs étrangers de transférer illicitement des devises. « Ces compagnies font des transferts, y compris la TVA (taxe sur la valeur ajoutée). Je le dis, et je l'assume », a déclaré Mohamed Ibn Boushaki, directeur de la Marine marchande et des ports au ministère des Transports à la Radio nationale, ce dimanche 6 mars, en dénonçant les prix prohibitifs pratiqués par les armateurs étrangers dans les ports secs. Le gouvernement accuse les armateurs étrangers de transférer illicitement des devises. « Ces compagnies font des transferts, y compris la TVA (taxe sur la valeur ajoutée). Je le dis, et je l'assume », a déclaré Mohamed Ibn Boushaki, directeur de la Marine marchande et des ports au ministère des Transports à la Radio nationale, ce dimanche 6 mars, en dénonçant les prix prohibitifs pratiqués par les armateurs étrangers dans les ports secs. « Nous sommes sous le diktat de trois ou quatre compagnies maritimes de transport maritime. Ces compagnies ont ouvert des ports secs où elles transfèrent directement les marchandises venant de l'étranger », at- il accusé, en précisant que les prix pratiqués par ces armateurs dans les ports secs sont parfois cinq fois supérieurs à ceux des ports humides, qui sont gérés par les entreprises portuaires (publiques). « Nous sommes sous le diktat de trois ou quatre compagnies maritimes de transport maritime. Ces compagnies ont ouvert des ports secs où elles transfèrent directement les marchandises venant de l'étranger », at- il accusé, en précisant que les prix pratiqués par ces armateurs dans les ports secs sont parfois cinq fois supérieurs à ceux des ports humides, qui sont gérés par les entreprises portuaires (publiques).