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Vers la fin des dos d'âne anarchiques
Sécurité routière
Publié dans Le Midi Libre le 19 - 05 - 2016

Les autorités locales ont été destinataires d'une circulaire interministérielle les enjoignant de prendre les "mesures nécessaires pour éliminer les ralentisseurs posés anarchiquement et conçus sans normes", a annoncé hier le ministère des Travaux publics.
Les autorités locales ont été destinataires d'une circulaire interministérielle les enjoignant de prendre les "mesures nécessaires pour éliminer les ralentisseurs posés anarchiquement et conçus sans normes", a annoncé hier le ministère des Travaux publics.
Signé par les ministres, respectivement, de l'Intérieur et des Collectivités locales et des Travaux publics, ce document s'adresse aux walis, aux chefs de daïra, aux présidents des Assemblées populaires communales ainsi qu'aux directeurs des travaux publics des wilayas. Les deux ministres relèvent, dans cette circulaire, un "recours anarchique, voire excessif" aux ralentisseurs (dos d'ânes) comme moyen de réduction de vitesse et d'accidents.
Ils relèvent également des "anomalies et insuffisances" dans la conception et l'implantation des ralentisseurs, occasionnant de graves conséquences sur la sécurité et le confort des usagers de la route, et causant parfois de graves dommages aux véhicules. Il s'agit notamment de l'implantation de ralentisseurs sans études, ni autorisation préalable,
de l'utilisation de dimensions et de matériaux non conformes aux prescriptions techniques, du manque d'information et de concertation entre les services des communes et ceux des subdivisions des travaux publics, ainsi que du défaut de signalisation de la plupart des ralentisseurs, constatent-ils.
En fait, près de 42 % des ralentisseurs du réseau routier national sont implantés de façon anarchique et non conformes aux normes techniques et sans autorisation des autorités publiques.
Ainsi, il a été notamment exigé des autorités locales d'éliminer tous les ralentisseurs réalisés sans autorisation et ne répondant pas aux normes, d'interdire, en agglomération, l'implantation de ralentisseurs sur les voies à grande circulation et d'impliquer systématiquement les services techniques de la subdivision des travaux publics dans l'examen de toute demande d'implantation de ralentisseurs.
Les deux ministres ont aussi exhorté les autorités locales à appliquer fermement les pénalités prévues par la réglementation à tout contrevenant qui réalise des ralentisseurs sans autorisation. En outre, l'autorisation d'implantation des ralentisseurs reste soumise à l'examen et à l'accord de la commission technique de la wilaya.
La circulaire interministérielle note également que pour les techniques d'aménagement qui peuvent se substituer aux ralentisseurs, les services techniques peuvent recourir à des "techniques moins lourdes et esthétiques tels les clous et les plots de chaussées, les bandes rugueuses ainsi que les minigiratoires et les chicanes".
Signé par les ministres, respectivement, de l'Intérieur et des Collectivités locales et des Travaux publics, ce document s'adresse aux walis, aux chefs de daïra, aux présidents des Assemblées populaires communales ainsi qu'aux directeurs des travaux publics des wilayas. Les deux ministres relèvent, dans cette circulaire, un "recours anarchique, voire excessif" aux ralentisseurs (dos d'ânes) comme moyen de réduction de vitesse et d'accidents.
Ils relèvent également des "anomalies et insuffisances" dans la conception et l'implantation des ralentisseurs, occasionnant de graves conséquences sur la sécurité et le confort des usagers de la route, et causant parfois de graves dommages aux véhicules. Il s'agit notamment de l'implantation de ralentisseurs sans études, ni autorisation préalable,
de l'utilisation de dimensions et de matériaux non conformes aux prescriptions techniques, du manque d'information et de concertation entre les services des communes et ceux des subdivisions des travaux publics, ainsi que du défaut de signalisation de la plupart des ralentisseurs, constatent-ils.
En fait, près de 42 % des ralentisseurs du réseau routier national sont implantés de façon anarchique et non conformes aux normes techniques et sans autorisation des autorités publiques.
Ainsi, il a été notamment exigé des autorités locales d'éliminer tous les ralentisseurs réalisés sans autorisation et ne répondant pas aux normes, d'interdire, en agglomération, l'implantation de ralentisseurs sur les voies à grande circulation et d'impliquer systématiquement les services techniques de la subdivision des travaux publics dans l'examen de toute demande d'implantation de ralentisseurs.
Les deux ministres ont aussi exhorté les autorités locales à appliquer fermement les pénalités prévues par la réglementation à tout contrevenant qui réalise des ralentisseurs sans autorisation. En outre, l'autorisation d'implantation des ralentisseurs reste soumise à l'examen et à l'accord de la commission technique de la wilaya.
La circulaire interministérielle note également que pour les techniques d'aménagement qui peuvent se substituer aux ralentisseurs, les services techniques peuvent recourir à des "techniques moins lourdes et esthétiques tels les clous et les plots de chaussées, les bandes rugueuses ainsi que les minigiratoires et les chicanes".


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