Confrontés à des difficultés financières énormes, certains clubs de Ligue 1 de football sont actuellement sans siège et d'autres n'ont même de stade pour recevoir leurs adversaires lors du championnat, dont le coup d'envoi sera donné ce weekend. Confrontés à des difficultés financières énormes, certains clubs de Ligue 1 de football sont actuellement sans siège et d'autres n'ont même de stade pour recevoir leurs adversaires lors du championnat, dont le coup d'envoi sera donné ce weekend. Sept ans après son lancement, le professionnalisme en Algérie n'arrive toujours pas à s'imposer. Des clubs de Ligue 1, et pas des moindres, ne possèdent même pas de siège propre à eux. Ces mêmes clubs dépensaient de l'argent sans compter, notamment lors des périodes de mercato pour s'offrir les meilleurs joueurs sur le marché des transferts. Il s'agit, entre autres, du CS Constantine repris par une société étatique. Les Sanafirs se trouvent toujours sans siège malgré les moyens mis à leur disposition. "Le CS Constantine est un grand club qui ne possède pas de siège propre à lui. J'aurai aimé avoir une salle de musculation et les moyens nécessaires pour la récupération. Le problème actuel c'est le stade. Si celui du Chahid-Hamlaoui est en rénovation pour accueillir les matchs de la sélection nationale, celui de Benabdelmalek-Ramdane n'a pas été homologué. La commission d'homologation des stades a émis des réserves de fond après sa visite dernièrement à cette enceinte. On ne s'entraîne plus dans ce stade où nous devrons recevoir nos adversaires. Cela pénalise le club à quelques jours du début de la compétition. Sincèrement, j'en ai marre de travailler dans des conditions pareilles", a indiqué l'entraîneur constantinois, Abdelkader Amrani. Idem pour le MC Oran, le CR Belouizdad et d'autres formations qui sont actuellement sans siège. Pour le problème de stade, la commission d'homologation des stades a émis desréserves pour trois autres enceintes. Ils'agit du stade du 1er-Novembre d'El-Harrach, le stade Benhaddad deKouba et celui de Aïn M'Lila. Lesderniers délais impartis à ces clubspour effectuer les traveaux de rénovationont expiré hier lundi. "Le problèmese pose surtout pour les clubsalgérois", selon le président de laLigue nationale de football, MahfoudKerbadj. À titre d'exemple, le nouveau promu en Ligue 1, le Paradou AC, sera domicilié au stade Omar- Hamadi de Bologhine pour la prochaine saison. L'USM Alger qui gèrece stade a donné son accord aux responsables du PAC lequel réputé pour son professionnalisme ne possède pas de stade qui réponde au cahier decharges. Ce club avait l'habitude de recevoir ses adversaires au stade de Dar El-Beïda. La domiciliation du PAC à Bologhine posera un sérieux problème pour le MC Alger qui partageaitce stade par le passé avecl'USMA. Sachant que le stade du 5-Juillet qui avait l'habitude d'abriter les dernies algérois, ne le fera pascette saison.Même le champion d'Algérie sortant,l'ES Sétif, risque de débuter la saisoncontre l'USM Harrach en dehors deson stade du 8-Mai-45 en raison de ladégradation de sa pelouse. Il faut le souligner, aucun club algérien ne possèdeson propre centre de formation .La preuve, la Tunisie a été envahi par les clubs algériens lors de la préparationestivale. Enormément de choses restent à faire et le nouveau bureau fédéral, à sa tête le président Zetchi, a hérité d'un lourd fardeau. Sept ans après son lancement, le professionnalisme en Algérie n'arrive toujours pas à s'imposer. Des clubs de Ligue 1, et pas des moindres, ne possèdent même pas de siège propre à eux. Ces mêmes clubs dépensaient de l'argent sans compter, notamment lors des périodes de mercato pour s'offrir les meilleurs joueurs sur le marché des transferts. Il s'agit, entre autres, du CS Constantine repris par une société étatique. Les Sanafirs se trouvent toujours sans siège malgré les moyens mis à leur disposition. "Le CS Constantine est un grand club qui ne possède pas de siège propre à lui. J'aurai aimé avoir une salle de musculation et les moyens nécessaires pour la récupération. Le problème actuel c'est le stade. Si celui du Chahid-Hamlaoui est en rénovation pour accueillir les matchs de la sélection nationale, celui de Benabdelmalek-Ramdane n'a pas été homologué. La commission d'homologation des stades a émis des réserves de fond après sa visite dernièrement à cette enceinte. On ne s'entraîne plus dans ce stade où nous devrons recevoir nos adversaires. Cela pénalise le club à quelques jours du début de la compétition. Sincèrement, j'en ai marre de travailler dans des conditions pareilles", a indiqué l'entraîneur constantinois, Abdelkader Amrani. Idem pour le MC Oran, le CR Belouizdad et d'autres formations qui sont actuellement sans siège. Pour le problème de stade, la commission d'homologation des stades a émis desréserves pour trois autres enceintes. Ils'agit du stade du 1er-Novembre d'El-Harrach, le stade Benhaddad deKouba et celui de Aïn M'Lila. Lesderniers délais impartis à ces clubspour effectuer les traveaux de rénovationont expiré hier lundi. "Le problèmese pose surtout pour les clubsalgérois", selon le président de laLigue nationale de football, MahfoudKerbadj. À titre d'exemple, le nouveau promu en Ligue 1, le Paradou AC, sera domicilié au stade Omar- Hamadi de Bologhine pour la prochaine saison. L'USM Alger qui gèrece stade a donné son accord aux responsables du PAC lequel réputé pour son professionnalisme ne possède pas de stade qui réponde au cahier decharges. Ce club avait l'habitude de recevoir ses adversaires au stade de Dar El-Beïda. La domiciliation du PAC à Bologhine posera un sérieux problème pour le MC Alger qui partageaitce stade par le passé avecl'USMA. Sachant que le stade du 5-Juillet qui avait l'habitude d'abriter les dernies algérois, ne le fera pascette saison.Même le champion d'Algérie sortant,l'ES Sétif, risque de débuter la saisoncontre l'USM Harrach en dehors deson stade du 8-Mai-45 en raison de ladégradation de sa pelouse. Il faut le souligner, aucun club algérien ne possèdeson propre centre de formation .La preuve, la Tunisie a été envahi par les clubs algériens lors de la préparationestivale. Enormément de choses restent à faire et le nouveau bureau fédéral, à sa tête le président Zetchi, a hérité d'un lourd fardeau.
