Le phénomène du redoublement préoccupe au pus haut point le ministère de l'Education nationale. Ce dernier tente par tous les moyens de mettre fin à ce phénomène. Le phénomène du redoublement préoccupe au pus haut point le ministère de l'Education nationale. Ce dernier tente par tous les moyens de mettre fin à ce phénomène. A ce titre un "plan Marshall" est d'ores et déjà mis en oeuvre. C'est ce qu'a annoncé hier Farid Benramdhane, conseiller auprès de la ministre de l'Education nationale, lors de son passage dans l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne. Ce plan lancé officiellement depuis avant-hier samedi vise, à travers notamment la formation des enseignants, à lutter contre l'échec scolaire, a déclaré le professeur Farid Benramdane qui situe "le taux de redoublement des élèves en première année du cycle moyen (CEM) à 30 %", ce qui veut dire qu'un tiers des élèves chute à l'issue de la première année moyenne. Qualifiant ce taux de très élevé, le professeur Farid Benramdane dira qu'il ne peut y avoir une école de qualité qu'avec des enseignants formés et de qualité. "C'est pour cette raison que nous devons tout revoir à la base. Le système a fonctionné sur le quantitatif, maintenant que nous voulons travailler sur la qualitatif, on n'est pas outillé et pour l'être, il nous faut la formation", a-t-il souligné. L'invité de la chaine 3 reconnait que sur le plan quantitatif, "le système a atteint tout ses objectifs, puisque nous sommes à 98 % de taux de scolarisation des enfants du cycle primaire". Un taux, dira-t-il, très prochedes standards de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Le professeurFarid Benramdhane estime que l'objectif principal d'un système scolaireest la transmission des valeurs d'une société. C'est pourquoi, selon lui, depuis 2014, il y a eu une entrée enforce du patrimoine culturel algérien dans les manuels scolaires. "Pour la première fois, on a introduit des textes d'Ibn Khaldoun, de Si Mohand Oumhand et de Mouloud Mammeri",a-t-il indiqué, précisant que le ministèrede l'Education nationale est entrain de mettre en place "un socle deréférence".Dans cet ordre d'idées, l'intervenantannonce la sortie, lors du prochain Salon international du livre d'Alger, d'"un coffret ressources pédagogiques"qui rassemble des anthologieslittéraires scolaires, dans lestrois langues (tamazight, arabe etfrançais), notamment des textes d'Apulée et de Tertulliens. A ce titre un "plan Marshall" est d'ores et déjà mis en oeuvre. C'est ce qu'a annoncé hier Farid Benramdhane, conseiller auprès de la ministre de l'Education nationale, lors de son passage dans l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne. Ce plan lancé officiellement depuis avant-hier samedi vise, à travers notamment la formation des enseignants, à lutter contre l'échec scolaire, a déclaré le professeur Farid Benramdane qui situe "le taux de redoublement des élèves en première année du cycle moyen (CEM) à 30 %", ce qui veut dire qu'un tiers des élèves chute à l'issue de la première année moyenne. Qualifiant ce taux de très élevé, le professeur Farid Benramdane dira qu'il ne peut y avoir une école de qualité qu'avec des enseignants formés et de qualité. "C'est pour cette raison que nous devons tout revoir à la base. Le système a fonctionné sur le quantitatif, maintenant que nous voulons travailler sur la qualitatif, on n'est pas outillé et pour l'être, il nous faut la formation", a-t-il souligné. L'invité de la chaine 3 reconnait que sur le plan quantitatif, "le système a atteint tout ses objectifs, puisque nous sommes à 98 % de taux de scolarisation des enfants du cycle primaire". Un taux, dira-t-il, très prochedes standards de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Le professeurFarid Benramdhane estime que l'objectif principal d'un système scolaireest la transmission des valeurs d'une société. C'est pourquoi, selon lui, depuis 2014, il y a eu une entrée enforce du patrimoine culturel algérien dans les manuels scolaires. "Pour la première fois, on a introduit des textes d'Ibn Khaldoun, de Si Mohand Oumhand et de Mouloud Mammeri",a-t-il indiqué, précisant que le ministèrede l'Education nationale est entrain de mettre en place "un socle deréférence".Dans cet ordre d'idées, l'intervenantannonce la sortie, lors du prochain Salon international du livre d'Alger, d'"un coffret ressources pédagogiques"qui rassemble des anthologieslittéraires scolaires, dans lestrois langues (tamazight, arabe etfrançais), notamment des textes d'Apulée et de Tertulliens.