appel aux jeunes qui ont "subi les carences du système éducatif au pointque des centaines de milliers d'entre euxont été exclus de l'école ou de l'université,sans diplôme et sans possibilité deréinsertion par la formation". appel aux jeunes qui ont "subi les carences du système éducatif au pointque des centaines de milliers d'entre euxont été exclus de l'école ou de l'université,sans diplôme et sans possibilité deréinsertion par la formation". "Vous êtes les premières victimes duchômage, la moitié d'entre vous, y comprisles diplômés, se trouventaujourd'hui sans emploi", affirme ceparti qui évoque "l'exil, la harga, la hogra, la drogue, le suicide, la criminalité,l'émeute", lesquels sont "les réactionsde beaucoup de jeunes à cette situation".Le FFS demande aux jeunesd'être les "artisans du changement derégime", en expliquant que "s'engager neveut pas dire forcément adhérer à unparti. On peut aussirejoindre les syndicatsestudiantins autonomes, les sectionslocales des syndicats indépendants,activer dans des associations non gouvernementaleset en créer d'autres danstous les secteurs possibles, investir lesquartiers, les villages et les réseauxsociaux par toutes sortes d'initiativescitoyennes (sociales, culturelles, environnementales)",suggère le parti du défunt Hocine Aït Ahmed. "Vous êtes les premières victimes duchômage, la moitié d'entre vous, y comprisles diplômés, se trouventaujourd'hui sans emploi", affirme ceparti qui évoque "l'exil, la harga, la hogra, la drogue, le suicide, la criminalité,l'émeute", lesquels sont "les réactionsde beaucoup de jeunes à cette situation".Le FFS demande aux jeunesd'être les "artisans du changement derégime", en expliquant que "s'engager neveut pas dire forcément adhérer à unparti. On peut aussirejoindre les syndicatsestudiantins autonomes, les sectionslocales des syndicats indépendants,activer dans des associations non gouvernementaleset en créer d'autres danstous les secteurs possibles, investir lesquartiers, les villages et les réseauxsociaux par toutes sortes d'initiativescitoyennes (sociales, culturelles, environnementales)",suggère le parti du défunt Hocine Aït Ahmed.