Le ministère de l'Education nationale( MEN) a rompu le silence, mercredi soir, au sujet des actions de protestationsen faveur de la généralisation de l'enseignementdu Tamazight Le ministère de l'Education nationale( MEN) a rompu le silence, mercredi soir, au sujet des actions de protestationsen faveur de la généralisation de l'enseignementdu Tamazight dans tous le paysobservées par des collégiens et deslycéens en Kabylie depuis plusieurs joursen rappelant les mesures prises et celles àprendre dans le cadre de la promotion decette langue depuis qu'elle est devenue ladeuxième langue officielle en Algérie. Dans le communiqué rendu public à cepropos, le MEN "rassure toute la communautééducative. Le socle législatif dela langue amazighe est assuré aujourd'huiau niveau le plus élevé de nos textes: laConstitution" et qu'il s'attelait "à faire deTamazight une langue à part entière dupaysage éducatif national", rappelant quele secteur a fait des efforts "importants etcontinus" pour la promotion de l'enseignement de Tamazight. Il a dans ce sensrelevé que depuis 2014, l'enseignement deTamazight "connaît une dynamique soutenuepour sa généralisation et son élargissement comme cela est clairement stipulédans la circulaire-cadre de cette année scolaire 2018-2019". Le MEN rappelleque"l'élargissement de l'enseignement de Tamazight de 11 wilayas en 2014 à 43 wilayas cette année, l'élaboration de manuels de Tamazight en caractère arabe,tifinagh et latin ainsi que des anthologies littéraires scolaires de Tamazight, affirmant que toutes les demandespour l'ouverturede classes d'enseignement de Tamazight ont été satisfaites".Pour le département de Nouria Benghabrit, "le temps aujourd'hui est autravail pédagogique sur le terrain. Il faut aujourd'hui assurer la continuité dans l'encadrement des enseignants paruneformationde qualité pour faire que sur le terraincette langue, dans sa diversité, prenne la place qui lui revient, c'est-à-dire languenationale et officielle", tout ensoulignant qu'"aucun n'a intérêt à instrumentaliserl'école ou sur-politiser la question deslangues". La ministre de l'Education nationale "en appelle, aujourd'hui, à lagénérosité et à l'engagement traditionnel des enseignants pour rattraper les cours perdus par les élèves des établissements ayant connu une perturbation descours",conclut le communiqué. dans tous le paysobservées par des collégiens et deslycéens en Kabylie depuis plusieurs joursen rappelant les mesures prises et celles àprendre dans le cadre de la promotion decette langue depuis qu'elle est devenue ladeuxième langue officielle en Algérie. Dans le communiqué rendu public à cepropos, le MEN "rassure toute la communautééducative. Le socle législatif dela langue amazighe est assuré aujourd'huiau niveau le plus élevé de nos textes: laConstitution" et qu'il s'attelait "à faire deTamazight une langue à part entière dupaysage éducatif national", rappelant quele secteur a fait des efforts "importants etcontinus" pour la promotion de l'enseignement de Tamazight. Il a dans ce sensrelevé que depuis 2014, l'enseignement deTamazight "connaît une dynamique soutenuepour sa généralisation et son élargissement comme cela est clairement stipulédans la circulaire-cadre de cette année scolaire 2018-2019". Le MEN rappelleque"l'élargissement de l'enseignement de Tamazight de 11 wilayas en 2014 à 43 wilayas cette année, l'élaboration de manuels de Tamazight en caractère arabe,tifinagh et latin ainsi que des anthologies littéraires scolaires de Tamazight, affirmant que toutes les demandespour l'ouverturede classes d'enseignement de Tamazight ont été satisfaites".Pour le département de Nouria Benghabrit, "le temps aujourd'hui est autravail pédagogique sur le terrain. Il faut aujourd'hui assurer la continuité dans l'encadrement des enseignants paruneformationde qualité pour faire que sur le terraincette langue, dans sa diversité, prenne la place qui lui revient, c'est-à-dire languenationale et officielle", tout ensoulignant qu'"aucun n'a intérêt à instrumentaliserl'école ou sur-politiser la question deslangues". La ministre de l'Education nationale "en appelle, aujourd'hui, à lagénérosité et à l'engagement traditionnel des enseignants pour rattraper les cours perdus par les élèves des établissements ayant connu une perturbation descours",conclut le communiqué.