La crise organique s'accentue au FFS avec une nouvelle opération de purge qui touche trois cadres importants du parti de la wilayade Béjaïa, son principal fief. La crise organique s'accentue au FFS avec une nouvelle opération de purge qui touche trois cadres importants du parti de la wilayade Béjaïa, son principal fief. Mais selond'autres sources ce sont plutôt pas moins decinq cadres qui sont concernés par cettepurge. Il s'agit, selon des sources proches duFFS, de Hocine Haroun, Mansouri Ahcène, Kalalèche Mohamed, Chabati Rachid et Derguini Abdenour ainsi que le président del'assemblée populaire de la wilaya de Béjaïa,Haddadou M'henni. Dans sa décision signéepar le premier secrétaire national, fraîchement désigné, Hakim Bellahcel, et fuitée par des militants du parti, la direction du FFSannonce ainsi la suspension du sénateurAbdenour Derguini, le député Rachid Chabatiet le président d'APW de Béjaïa, MehenniHaddadou, de toute activité au sein du partijusqu'à leur comparution devant la commission nationale de médiation et de règlementdes conflits. La direction accuse ces cadres de"travail fractionnel portant préjudice auparti et à ses instances". Selon le document, cette décision prend effet à partir du 28 mars.Cette nouvelle mesure fait certainement suiteà la réunion, le week end dernier, des conseilsfédéraux des wilayas de Tizi-Ouzou et deBéjaïa et ce, sans l'aval de la direction. Ainsi,suite à la réunion du conseil fédéral de Béjaïaune déclaration, qui n'a pas été du tout tendreavec ceux qui gouvernent le FFS, a été rendue publique. "Le conseil fédéral déclarefaire siennes les résolutions du conseil national extraordinaire, réuni le 22 mars 2019 au siège de la fédération d'Alger, sur convocation du premier secrétaire par intérim Monsieur Haddadou Mehenni en date du 14 mars 2019" indique le communiqué. Le document fait allusion à la réunion organiséepar deux membres de l'instance présidentielle Hayat Tayati et Sofiane Chouikh, qui ontouvertement déclaré leur opposition au duo Ali Laskri et Amokrane Cherifi. Lors de cetteréunion du conseil national il a été décidé ladissolution de la commission nationale de médiation et du règlement des conflits pouréviter son instrumentalisation et asseoir unerelation apaisée entre les militants. Il a de même été décidé l'Installation d'une commission d'information sur la gestion des finances du parti et le maintien de la session du conseil national ouverte pour pallier la conjoncture que traverse notre pays et à d'éventuelles accélérations des événements. Hier plusieurs militants, dont des membres du conseil national, ont protesté à l'intérieur du siège national du parti pour dénoncer ce qu'ils ont appelé "les abus" commis selon eux par Ali Laskri, Mohand Amokrane Cherifi et Brahim Meziani, membres de l'instance présidentielle. Autant dire que le FFS est au bord de l'implosion Mais selond'autres sources ce sont plutôt pas moins decinq cadres qui sont concernés par cettepurge. Il s'agit, selon des sources proches duFFS, de Hocine Haroun, Mansouri Ahcène, Kalalèche Mohamed, Chabati Rachid et Derguini Abdenour ainsi que le président del'assemblée populaire de la wilaya de Béjaïa,Haddadou M'henni. Dans sa décision signéepar le premier secrétaire national, fraîchement désigné, Hakim Bellahcel, et fuitée par des militants du parti, la direction du FFSannonce ainsi la suspension du sénateurAbdenour Derguini, le député Rachid Chabatiet le président d'APW de Béjaïa, MehenniHaddadou, de toute activité au sein du partijusqu'à leur comparution devant la commission nationale de médiation et de règlementdes conflits. La direction accuse ces cadres de"travail fractionnel portant préjudice auparti et à ses instances". Selon le document, cette décision prend effet à partir du 28 mars.Cette nouvelle mesure fait certainement suiteà la réunion, le week end dernier, des conseilsfédéraux des wilayas de Tizi-Ouzou et deBéjaïa et ce, sans l'aval de la direction. Ainsi,suite à la réunion du conseil fédéral de Béjaïaune déclaration, qui n'a pas été du tout tendreavec ceux qui gouvernent le FFS, a été rendue publique. "Le conseil fédéral déclarefaire siennes les résolutions du conseil national extraordinaire, réuni le 22 mars 2019 au siège de la fédération d'Alger, sur convocation du premier secrétaire par intérim Monsieur Haddadou Mehenni en date du 14 mars 2019" indique le communiqué. Le document fait allusion à la réunion organiséepar deux membres de l'instance présidentielle Hayat Tayati et Sofiane Chouikh, qui ontouvertement déclaré leur opposition au duo Ali Laskri et Amokrane Cherifi. Lors de cetteréunion du conseil national il a été décidé ladissolution de la commission nationale de médiation et du règlement des conflits pouréviter son instrumentalisation et asseoir unerelation apaisée entre les militants. Il a de même été décidé l'Installation d'une commission d'information sur la gestion des finances du parti et le maintien de la session du conseil national ouverte pour pallier la conjoncture que traverse notre pays et à d'éventuelles accélérations des événements. Hier plusieurs militants, dont des membres du conseil national, ont protesté à l'intérieur du siège national du parti pour dénoncer ce qu'ils ont appelé "les abus" commis selon eux par Ali Laskri, Mohand Amokrane Cherifi et Brahim Meziani, membres de l'instance présidentielle. Autant dire que le FFS est au bord de l'implosion
