La grave crise qui secoue le FFS a franchi, hier, un nouveau palier qui atteste qu'entre les deux camps belligérants c'est la rupture totale. La grave crise qui secoue le FFS a franchi, hier, un nouveau palier qui atteste qu'entre les deux camps belligérants c'est la rupture totale. Ainsi des militants frondeurs ont investi le siège national du parti à Alger et ont, de force, chassé AliLaskri, qui fait office de coordinateur del'instance présidentielle, la plus hauteautorité exécutive du parti. Autant direqu'il s'agit d'un véritable coup de forceopéré par les opposants qui sont menés,pour rappel, par deux membres de l'instanceprésidentielle, à savoir Hayat Tayatiet Sofiane Chouikh. A l'évidence Laskri avivement dénoncé ce qu'il a qualifié de"putsch". Le Conseil national devait se tenir aujourd'hui (hier NDLR), "dans lecadre des statuts et du règlement intérieur.Les membres du conseil national sontvenus. Mais des camarades députés avecle P/APW de Béjaïa ont ramené des gensdangereux au siège national et ont utiliséla force. Ils ont tout cassé : la porte d'entréedu siège du parti ou encore celle demon bureau. Il y a eu des bousculades, des camarades m'ont protégé. Ils ont fait un putsch avorté le 8 mars et cette fois-ci ils ont mobilisé des gens vraiment très dangereux. Ils ont ramené des fonctionnaires de Tizi-Ouzou et de Béjaïa et un peu de partout, des gens très dangereux qui ont commencé à casser et à tout détruire. Ces gens ont attaqué le siège du parti d'une manière violente" a indiqué Ali Laskri. Ali i Laskri est contesté pour ses méthodes qualifiées de "staliniennes", notamment des sanctions contre des cadres du parti, mais aussi la ligne politique imprimée au parti et jugée en rupture avec l'héritage de Hocine Aït Ahmed.Cette crise organique qui dure depuis des mois impacte négativement l'image et le poids du FFS pour qui il est difficile de prôner le consensus national, alors qu'il est incapable de le réaliser au sein de ses structures. Avec ce nouveau développementdans la crise que vit le plus vieuxparti d'opposition la division est irrémédiable. L'affaire sera assurément traitée au niveau de la justice Ainsi des militants frondeurs ont investi le siège national du parti à Alger et ont, de force, chassé AliLaskri, qui fait office de coordinateur del'instance présidentielle, la plus hauteautorité exécutive du parti. Autant direqu'il s'agit d'un véritable coup de forceopéré par les opposants qui sont menés,pour rappel, par deux membres de l'instanceprésidentielle, à savoir Hayat Tayatiet Sofiane Chouikh. A l'évidence Laskri avivement dénoncé ce qu'il a qualifié de"putsch". Le Conseil national devait se tenir aujourd'hui (hier NDLR), "dans lecadre des statuts et du règlement intérieur.Les membres du conseil national sontvenus. Mais des camarades députés avecle P/APW de Béjaïa ont ramené des gensdangereux au siège national et ont utiliséla force. Ils ont tout cassé : la porte d'entréedu siège du parti ou encore celle demon bureau. Il y a eu des bousculades, des camarades m'ont protégé. Ils ont fait un putsch avorté le 8 mars et cette fois-ci ils ont mobilisé des gens vraiment très dangereux. Ils ont ramené des fonctionnaires de Tizi-Ouzou et de Béjaïa et un peu de partout, des gens très dangereux qui ont commencé à casser et à tout détruire. Ces gens ont attaqué le siège du parti d'une manière violente" a indiqué Ali Laskri. Ali i Laskri est contesté pour ses méthodes qualifiées de "staliniennes", notamment des sanctions contre des cadres du parti, mais aussi la ligne politique imprimée au parti et jugée en rupture avec l'héritage de Hocine Aït Ahmed.Cette crise organique qui dure depuis des mois impacte négativement l'image et le poids du FFS pour qui il est difficile de prôner le consensus national, alors qu'il est incapable de le réaliser au sein de ses structures. Avec ce nouveau développementdans la crise que vit le plus vieuxparti d'opposition la division est irrémédiable. L'affaire sera assurément traitée au niveau de la justice
