Constitution continue à agiter le pays. Les manifestations violentes sont courantes.Ce jeudi 13 juin, c'est Nzérékoré dans leSud qui a été le théâtre de violents affrontements.Au moins un mort et 28 blesséssont à déplorer. Constitution continue à agiter le pays. Les manifestations violentes sont courantes.Ce jeudi 13 juin, c'est Nzérékoré dans leSud qui a été le théâtre de violents affrontements.Au moins un mort et 28 blesséssont à déplorer. Ce qui devait être, jeudi un rassemblement des partisans du "Non"s'est transformé en affrontements. C'est en tout cas ce qu'indique, le FNDC, le Front National de la défense de la Constitution,créé en avril dernier pour s'opposer à un troisième mandat d'Alpha Condé. Selon Moïse Haba, un des membres du comité exécutif du FNDC de Nzérékoré, organisateur de ce rassemblement, les participantsse sont retrouvés encerclés par lesforces de l'ordre devant le siège d'un partipolitique de la ville. "Quand ils ont commencéà tirer des grenades lacrymogène,les jeunes ont répliqué par des jets depierres", explique-t-il. Ils auraient alorsfait reculer les forces de l'ordre et seseraient dispersés dans les rues de la ville où ils auraient rencontré des militantsfavorables à un troisième mandat de l'actuelprésident guinéen. Dès lors, de violentsaffrontements auraient éclaté. Lebilan est au moins de 28 blessés. Un jeuneest également décédé de coups de poignardqu'il aurait reçus au cou. C'est cequ'a confirmé le maire de la ville, membredu parti au pouvoir, le RPG, en précisant ne pas savoir à quel camp il appartenait.Un couvre-feu a été instauré mais la villereste encore sous tension ce vendredi Ce qui devait être, jeudi un rassemblement des partisans du "Non"s'est transformé en affrontements. C'est en tout cas ce qu'indique, le FNDC, le Front National de la défense de la Constitution,créé en avril dernier pour s'opposer à un troisième mandat d'Alpha Condé. Selon Moïse Haba, un des membres du comité exécutif du FNDC de Nzérékoré, organisateur de ce rassemblement, les participantsse sont retrouvés encerclés par lesforces de l'ordre devant le siège d'un partipolitique de la ville. "Quand ils ont commencéà tirer des grenades lacrymogène,les jeunes ont répliqué par des jets depierres", explique-t-il. Ils auraient alorsfait reculer les forces de l'ordre et seseraient dispersés dans les rues de la ville où ils auraient rencontré des militantsfavorables à un troisième mandat de l'actuelprésident guinéen. Dès lors, de violentsaffrontements auraient éclaté. Lebilan est au moins de 28 blessés. Un jeuneest également décédé de coups de poignardqu'il aurait reçus au cou. C'est cequ'a confirmé le maire de la ville, membredu parti au pouvoir, le RPG, en précisant ne pas savoir à quel camp il appartenait.Un couvre-feu a été instauré mais la villereste encore sous tension ce vendredi