L'exercice de la profession de journaliste est loin d'être une simple sinécure. Les professionnels des médias font face, en effet, à une conjoncture des plus difficiles. L'exercice de la profession de journaliste est loin d'être une simple sinécure. Les professionnels des médias font face, en effet, à une conjoncture des plus difficiles. La situation politique que traverse le pays depuis des mois maintenant a eu des incidences négatives sur le travail des journalistes. Ces derniers subissent des pressions, des agressions verbales et sont même parfois arrêtés. C'est cette situation exécrable qui a poussé le Conseil national des journalistes algériens (CNJA) à monter au créneau pour attirer l'attention de l'opinion publique nationale et des autorités. Le CNJAs'est dit, dans un communiqué rendu public, très "préoccupé et inquiet" par cette situation en estimant que les conditions dans lesquelles les journalistes exercent leur métier sont "difficiles et dangereuses". L'organisation syndicale, qui rappelle sa mission de défense dés intérêts socio-professionnels des journalistes et l'amélioration des conditions de l'exercice de leur profession, très embarrassé par le phénomène des agressions verbales et physiques que subissent les journalistes ainsi que leurs arrestations et emprisonnement dans des circonstances controversées, ce qui est loin de servir les "intérêts du pays" au moment où il vit une période de transition vers une nouvelle étape de son histoire. Le bureau national du CNJA considère que depuis le début du "hirak" les cas de violence à l'égard des journalistes, qui font pourtant preuve de professionnalisme dans la couverture des événements, se sont multipliés de la part des citoyens et des forces de l'ordre, ce qui est contraire aux lois en vigueur. Evoquant la question des journalistes emprisonnés et poursuivis en justice, le communiqué cite le cas de Sofiane Merakchi qui collabore avec plusieurs medias internationaux. Le CNJA se dit amplement solidaire avec ce journaliste et tous les journalistes ayant perdu leur liberté et appelle à leur libération. Par ailleurs, et après avoir mis en garde contre les "complots" qui se trament contre le pays, le CNJA remet à l'ordre du jour la question de la nécessité de l'installation des instances de régulation de la profession comme énoncé dans la loi organique sur l'information, de même que la promulgation de tous les textes d'application. Ce syndicat fait certainement allusion à l'autorité de régulation de la presse écrite ainsi qu'à l'instance chargée de la déontologie. La situation politique que traverse le pays depuis des mois maintenant a eu des incidences négatives sur le travail des journalistes. Ces derniers subissent des pressions, des agressions verbales et sont même parfois arrêtés. C'est cette situation exécrable qui a poussé le Conseil national des journalistes algériens (CNJA) à monter au créneau pour attirer l'attention de l'opinion publique nationale et des autorités. Le CNJAs'est dit, dans un communiqué rendu public, très "préoccupé et inquiet" par cette situation en estimant que les conditions dans lesquelles les journalistes exercent leur métier sont "difficiles et dangereuses". L'organisation syndicale, qui rappelle sa mission de défense dés intérêts socio-professionnels des journalistes et l'amélioration des conditions de l'exercice de leur profession, très embarrassé par le phénomène des agressions verbales et physiques que subissent les journalistes ainsi que leurs arrestations et emprisonnement dans des circonstances controversées, ce qui est loin de servir les "intérêts du pays" au moment où il vit une période de transition vers une nouvelle étape de son histoire. Le bureau national du CNJA considère que depuis le début du "hirak" les cas de violence à l'égard des journalistes, qui font pourtant preuve de professionnalisme dans la couverture des événements, se sont multipliés de la part des citoyens et des forces de l'ordre, ce qui est contraire aux lois en vigueur. Evoquant la question des journalistes emprisonnés et poursuivis en justice, le communiqué cite le cas de Sofiane Merakchi qui collabore avec plusieurs medias internationaux. Le CNJA se dit amplement solidaire avec ce journaliste et tous les journalistes ayant perdu leur liberté et appelle à leur libération. Par ailleurs, et après avoir mis en garde contre les "complots" qui se trament contre le pays, le CNJA remet à l'ordre du jour la question de la nécessité de l'installation des instances de régulation de la profession comme énoncé dans la loi organique sur l'information, de même que la promulgation de tous les textes d'application. Ce syndicat fait certainement allusion à l'autorité de régulation de la presse écrite ainsi qu'à l'instance chargée de la déontologie.