Le ministère de la Justice a démenti, dimanche, les informations selon lesquelles le détenu Chamseddine Laalami, dit Ibrahim, aurait été maltraité et torturé au sein de l'établissement pénitentiaire de Bordj Bou Arreridj. Le ministère de la Justice a démenti, dimanche, les informations selon lesquelles le détenu Chamseddine Laalami, dit Ibrahim, aurait été maltraité et torturé au sein de l'établissement pénitentiaire de Bordj Bou Arreridj. Dans un communiqué, le ministère de la Justice a démenti les informations relayées par certains titres, selon lesquelles le détenu Chamseddine Laalami, dit Ibrahim, aurait été torturé, au sein de l'établissement de rééducation et de réhabilitation de Bordj Bou Arreridj, affirmant avoir diligenté les investigations nécessaires, lesquelles ont confirmé que le détenu "n'a pas fait l'objet de maltraitances au sein de l'établissement pénitentiaire, et qu'il se plaignait de douleurs au niveau de la main et du genou". "La radiographie faite par les médecins a révélé, que le détenu souffrait d'une fracture au métacarpe", lit-on dans le communiqué du ministère. Ces faits ont été confirmés par le médecin de l'établissement, qui a précisé que le détenu souffrait de ces douleurs avant d'être incarcéré, et qu'il avait bénéficié de soins nécessaires, a ajouté la même source, relevant que le détenu a été présenté à un médecin orthopédiste, et qu'il était "actuellement en bonne santé". Dans un communiqué, le ministère de la Justice a démenti les informations relayées par certains titres, selon lesquelles le détenu Chamseddine Laalami, dit Ibrahim, aurait été torturé, au sein de l'établissement de rééducation et de réhabilitation de Bordj Bou Arreridj, affirmant avoir diligenté les investigations nécessaires, lesquelles ont confirmé que le détenu "n'a pas fait l'objet de maltraitances au sein de l'établissement pénitentiaire, et qu'il se plaignait de douleurs au niveau de la main et du genou". "La radiographie faite par les médecins a révélé, que le détenu souffrait d'une fracture au métacarpe", lit-on dans le communiqué du ministère. Ces faits ont été confirmés par le médecin de l'établissement, qui a précisé que le détenu souffrait de ces douleurs avant d'être incarcéré, et qu'il avait bénéficié de soins nécessaires, a ajouté la même source, relevant que le détenu a été présenté à un médecin orthopédiste, et qu'il était "actuellement en bonne santé".