Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, n'a pas dissimulé ce lundi, sa colère face à certaines "parties", qu'il ne désigne pas nommément, d'exploiter la situation du Covid-19 pour des "objectifs politiciens". Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, n'a pas dissimulé ce lundi, sa colère face à certaines "parties", qu'il ne désigne pas nommément, d'exploiter la situation du Covid-19 pour des "objectifs politiciens". "Il y a certains qui exploitent cette affaire (la Covid-19). Ils font des interprétations politiques et politiciennes", at- il dénoncé, en marge de sa visite à Sidi Bel Abbes, ce lundi. La réaction de Djerad intervient alors que l'Algérie fait face à une flambée du Covid-19 depuis fin juin, avec un nouveau record quotidien des contaminations (494 nouveaux cas) enregistré ce lundi. "Au lieu de se mobiliser pour se protéger eux-mêmes, leur proches et aider les hôpitaux bénévolement, par la bonne parole, et les encouragements du corps médical, ils s'affirment avec des conditions parfois insurmontables,genre : ‘on veut un hôpital tout de suite !'", a-t-il déploré. "S'il y a un projet d'hôpital, on le programme, mais les problèmes doivent être posés de façon objective", dit-il. Signe de l'existence d'"arrière pensées politiques", selon lui, la vidéo partagée il y a quelques jours sur les réseaux,montrant une victime du Covid-19 dans un hôpital dans la wilaya de M'Sila et dont les auteurs avaient été arrêtés par les services de sécurité. "Vous avez vus ce qui s'est passé à M'sila ? Ils ont pris un mort, l'ont pris du lit, l'ont jeté par terre et l'ont filmé. Est-ce des humains ? Que veulent-ils montrer ?", s'est interrogé Djerrad. "A Biskra, ils brandissent des pancartes pour insulter l'Etat ; ils se font filmer et ensuite ils partent pour les envoyer sur Facebook. Donc, ils ne le font pas pour revendiquer mais pour d'autres objectifs", s'indigne-t-il. Selon lui, ces gens veulent provoquer une fitna dans le pays. "Mais, le peuple algérien n'est pas prêt à les suivre, impossible", affirme-t-il. Comme pour justifier son accès de colère qui tranche avec son calme d'habitude, Abdelaziz Djerad invoque son souci de la sensibilisation face au fléau du Covid qui a connu un rebond ces dernières semaines. "J'ai ouvert cette parenthèse, pour insister sur la sensibilisation et la responsabilité", a-t-il dit. "Il y a certains qui exploitent cette affaire (la Covid-19). Ils font des interprétations politiques et politiciennes", at- il dénoncé, en marge de sa visite à Sidi Bel Abbes, ce lundi. La réaction de Djerad intervient alors que l'Algérie fait face à une flambée du Covid-19 depuis fin juin, avec un nouveau record quotidien des contaminations (494 nouveaux cas) enregistré ce lundi. "Au lieu de se mobiliser pour se protéger eux-mêmes, leur proches et aider les hôpitaux bénévolement, par la bonne parole, et les encouragements du corps médical, ils s'affirment avec des conditions parfois insurmontables,genre : ‘on veut un hôpital tout de suite !'", a-t-il déploré. "S'il y a un projet d'hôpital, on le programme, mais les problèmes doivent être posés de façon objective", dit-il. Signe de l'existence d'"arrière pensées politiques", selon lui, la vidéo partagée il y a quelques jours sur les réseaux,montrant une victime du Covid-19 dans un hôpital dans la wilaya de M'Sila et dont les auteurs avaient été arrêtés par les services de sécurité. "Vous avez vus ce qui s'est passé à M'sila ? Ils ont pris un mort, l'ont pris du lit, l'ont jeté par terre et l'ont filmé. Est-ce des humains ? Que veulent-ils montrer ?", s'est interrogé Djerrad. "A Biskra, ils brandissent des pancartes pour insulter l'Etat ; ils se font filmer et ensuite ils partent pour les envoyer sur Facebook. Donc, ils ne le font pas pour revendiquer mais pour d'autres objectifs", s'indigne-t-il. Selon lui, ces gens veulent provoquer une fitna dans le pays. "Mais, le peuple algérien n'est pas prêt à les suivre, impossible", affirme-t-il. Comme pour justifier son accès de colère qui tranche avec son calme d'habitude, Abdelaziz Djerad invoque son souci de la sensibilisation face au fléau du Covid qui a connu un rebond ces dernières semaines. "J'ai ouvert cette parenthèse, pour insister sur la sensibilisation et la responsabilité", a-t-il dit.