Le directeur de l''enseignement primaire au ministère de l'Education, Kacem Djahla, a assuré hier que "toutes les dispositions sanitaires préventives sont prises pour garantir un accueil à risque zéro des candidats au BEM et au BAC". Le directeur de l''enseignement primaire au ministère de l'Education, Kacem Djahla, a assuré hier que "toutes les dispositions sanitaires préventives sont prises pour garantir un accueil à risque zéro des candidats au BEM et au BAC". Invité à la Radio nationale chaîne I, l'inspecteur est longuement revenu sur la décision du ministère d'organiser des séances de révision, aux candidats au BEM et au BAC, expliquant que le but est "la préparation pédagogique et psychologique de l'élève pour se mettre en condition d'être fin prêt à son examen le jour +J+". "Ces séances, développe t-il, vont permettre à l'élève de se retremper dans le bain de la scolarité et l'ambiance scolaire, après près de huit mois de rupture, et de vérifier son niveau de connaissance en s'exerçant sur des exercices similaires aux épreuves des examens." L'intervention médiatique de Kacem Djahla coïncide avec le retour aujourd'hui, de 450.000 enseignants à l'école pour signer leur PV de reprise, après une longue rupture de près de six mois, suite à la décision prise par les autorités au mois de mars de fermer les écoles par mesure de prévention.S'agissant de la grande rentrée scolaire prévue pour le 04 octobre prochain, toutes les dispositions, pédagogiques et surtout sanitaires, avec un protocole rigoureux, sont prises pour éviter tout risque de propagation de la Covid-19 dans les écoles et empêcher qu'elle deviennent des clusters. Cela étant dit, il parait difficile de faire respecter la distanciation physique dans des classes qui comptent plus de 50 élèves, du fait du problème de la surcharge. Le ministère a encore le temps pour y réfléchir Invité à la Radio nationale chaîne I, l'inspecteur est longuement revenu sur la décision du ministère d'organiser des séances de révision, aux candidats au BEM et au BAC, expliquant que le but est "la préparation pédagogique et psychologique de l'élève pour se mettre en condition d'être fin prêt à son examen le jour +J+". "Ces séances, développe t-il, vont permettre à l'élève de se retremper dans le bain de la scolarité et l'ambiance scolaire, après près de huit mois de rupture, et de vérifier son niveau de connaissance en s'exerçant sur des exercices similaires aux épreuves des examens." L'intervention médiatique de Kacem Djahla coïncide avec le retour aujourd'hui, de 450.000 enseignants à l'école pour signer leur PV de reprise, après une longue rupture de près de six mois, suite à la décision prise par les autorités au mois de mars de fermer les écoles par mesure de prévention.S'agissant de la grande rentrée scolaire prévue pour le 04 octobre prochain, toutes les dispositions, pédagogiques et surtout sanitaires, avec un protocole rigoureux, sont prises pour éviter tout risque de propagation de la Covid-19 dans les écoles et empêcher qu'elle deviennent des clusters. Cela étant dit, il parait difficile de faire respecter la distanciation physique dans des classes qui comptent plus de 50 élèves, du fait du problème de la surcharge. Le ministère a encore le temps pour y réfléchir
