Salah Goudjil a été plébiscité président du Conseil de la Nation, hier mercredi 24 février 2021 lors d'une séance plénière. 126 membres ont voté - Oui - tandis qu'1 seul s'est abstenu de voter. Salah Goudjil a été plébiscité président du Conseil de la Nation, hier mercredi 24 février 2021 lors d'une séance plénière. 126 membres ont voté - Oui - tandis qu'1 seul s'est abstenu de voter. Aucun sénateur n'a exprimé son opposition à la confirmation de Salah Goudjil à la tête du sénat. Le Conseil de la Nation avait annoncé la décision prise par son bureau, à l'issue d'une réunion à laquelle ont participé plusieurs chefs de groupes parlementaires, de confirmer celui qui était président du Sénat par intérim depuis avril 2019. La décision a été prise en vertu "de la volonté de plusieurs de ces groupes parlementaires", faisait savoir le Conseil dans son communiqué. Il s'agit notamment du parti du FLN, du RND et le tiers présidentiel. Hachemi Djiar a expliqué le choix de voter en faveur de la confirmation de Sala Goudjil pour "son passé de moudjahid et d'officier à l'Armée de libération nationale". Le même sénateur a rappelé aussi que Salah Goudjil "a été responsable du FLN après l'Indépendance, membre de gouvernement et député à l'ANP". Salah Goudjil est président par intérim du Sénat depuis avril 2019. Il avait remplacé Abdelkader Bensalah, chef de l'Etat après la destitution du Président Abdelaziz Bouteflika, suite au déclenchement du hirak. Agé de 90 ans, Salah Goudjil fait partie de la formation politique du FLN. Il était sénateur depuis 2013 avant sa nomination à la tête du Sénat. Sa confirmation, à la tête du Sénat, en février 2020, a été marquée par des tractations entre plusieurs groupes parlementaires. Il concurrençait Abdelouahab Benzaïm (FLN), Mustapha Djeghdali (FLN) et Mahmoud Kaissari (FLN). Né en 1931 à Batna, Salah Goudjil a été membre du comité central puis inspecteur général du parti. Il a ensuite été chef de daïra en 1965, commissaire du FLN puis ministre des Transports et de la Pêche sous Chadli Bendjedid. Pour rappel, le Président Abdelmadjid Tebboune a annoncé dans un discours la dissolution du Parlement et des élections législatives anticipées d'ici à juin. Les élections locales devront intervenir avant la fin de cette année. Les groupes parlementaires du RND et du FLN seront toujours au Sénat jusqu'au renouvellement de celui-ci. Aucun sénateur n'a exprimé son opposition à la confirmation de Salah Goudjil à la tête du sénat. Le Conseil de la Nation avait annoncé la décision prise par son bureau, à l'issue d'une réunion à laquelle ont participé plusieurs chefs de groupes parlementaires, de confirmer celui qui était président du Sénat par intérim depuis avril 2019. La décision a été prise en vertu "de la volonté de plusieurs de ces groupes parlementaires", faisait savoir le Conseil dans son communiqué. Il s'agit notamment du parti du FLN, du RND et le tiers présidentiel. Hachemi Djiar a expliqué le choix de voter en faveur de la confirmation de Sala Goudjil pour "son passé de moudjahid et d'officier à l'Armée de libération nationale". Le même sénateur a rappelé aussi que Salah Goudjil "a été responsable du FLN après l'Indépendance, membre de gouvernement et député à l'ANP". Salah Goudjil est président par intérim du Sénat depuis avril 2019. Il avait remplacé Abdelkader Bensalah, chef de l'Etat après la destitution du Président Abdelaziz Bouteflika, suite au déclenchement du hirak. Agé de 90 ans, Salah Goudjil fait partie de la formation politique du FLN. Il était sénateur depuis 2013 avant sa nomination à la tête du Sénat. Sa confirmation, à la tête du Sénat, en février 2020, a été marquée par des tractations entre plusieurs groupes parlementaires. Il concurrençait Abdelouahab Benzaïm (FLN), Mustapha Djeghdali (FLN) et Mahmoud Kaissari (FLN). Né en 1931 à Batna, Salah Goudjil a été membre du comité central puis inspecteur général du parti. Il a ensuite été chef de daïra en 1965, commissaire du FLN puis ministre des Transports et de la Pêche sous Chadli Bendjedid. Pour rappel, le Président Abdelmadjid Tebboune a annoncé dans un discours la dissolution du Parlement et des élections législatives anticipées d'ici à juin. Les élections locales devront intervenir avant la fin de cette année. Les groupes parlementaires du RND et du FLN seront toujours au Sénat jusqu'au renouvellement de celui-ci.
