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Le Zahi de Annaba
Cheikh Brahim Bey chanteur chaâbi
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 08 - 2007

Avec sa voix rauque et chaude à la fois, le chanteur Brahim Bey a été sacré le meilleur dans le style du chaâbi à Annaba.
Réputé pour sa modestie, mais aussi pour l'amour qu'il porte au chaâbi, ce personnage emblématique de la ville de Annaba a toujours été humble. Durant sa carrière, il enregistra de nombreuses cassettes et des CD-Rom dont celles d'«El Madi», «Sidi Rassek Lanjal» «Heraz» et tant d'autres. A Annaba, il est estimé de tous et à juste titre. il est très sollicité pour animer les fêtes familiales et mariages. Sa carrière fut riche et sa renommé dans le domaine du chaâbi a dépassé les frontières de la ville de Annaba réputée pour le malouf. A Alger, il a animé plusieurs fêtes et mariages et y compte beaucoup d'amis dont Didine Kharoum, Aziouz Raïs, Amar Zahi... Certains le considèrent comme le maître incontesté et incontestable du chaâbi à Annaba. Ses admirateurs annabis le suivent partout, même s'ils n'y sont pas invités. De Pont blanc à El-Mhaffeur et de la Cité des Martyrs à Kouba, ils sont là à écouter les chansonnettes de Brahim Bey, lui qui voue respect et considération au défunt cheikh Ali Mabrouk, décédé il y a quelques années. Cheikh Brahim composa plusieurs chansons reprises par d'autres amateurs dont on citera «Ya mrid Allah ychafik», «Hamret lalouane» en hommage à l'équipe de l'USM Annaba. N'étant pas sollicité par des organisateurs de festivals, qui ne doivent pas oublier que le chaâbi est un style qui a ses origines et qui reste une musique du terroir, ce chevalier de la musique chaâbie à l'échelle locale, qui se trouve malade en ce moment, doit être honoré comme il se doit et à sa juste valeur. Une valeur sûre de l'art algérien, dont les mérites ne doivent pas être limités à une réception ou une invitation. Père d'une famille nombreuse, Brahim Bey vit dans la misère avec le peu que lui rapportent les quelques fêtes qu'il anime.
Avec sa voix rauque et chaude à la fois, le chanteur Brahim Bey a été sacré le meilleur dans le style du chaâbi à Annaba.
Réputé pour sa modestie, mais aussi pour l'amour qu'il porte au chaâbi, ce personnage emblématique de la ville de Annaba a toujours été humble. Durant sa carrière, il enregistra de nombreuses cassettes et des CD-Rom dont celles d'«El Madi», «Sidi Rassek Lanjal» «Heraz» et tant d'autres. A Annaba, il est estimé de tous et à juste titre. il est très sollicité pour animer les fêtes familiales et mariages. Sa carrière fut riche et sa renommé dans le domaine du chaâbi a dépassé les frontières de la ville de Annaba réputée pour le malouf. A Alger, il a animé plusieurs fêtes et mariages et y compte beaucoup d'amis dont Didine Kharoum, Aziouz Raïs, Amar Zahi... Certains le considèrent comme le maître incontesté et incontestable du chaâbi à Annaba. Ses admirateurs annabis le suivent partout, même s'ils n'y sont pas invités. De Pont blanc à El-Mhaffeur et de la Cité des Martyrs à Kouba, ils sont là à écouter les chansonnettes de Brahim Bey, lui qui voue respect et considération au défunt cheikh Ali Mabrouk, décédé il y a quelques années. Cheikh Brahim composa plusieurs chansons reprises par d'autres amateurs dont on citera «Ya mrid Allah ychafik», «Hamret lalouane» en hommage à l'équipe de l'USM Annaba. N'étant pas sollicité par des organisateurs de festivals, qui ne doivent pas oublier que le chaâbi est un style qui a ses origines et qui reste une musique du terroir, ce chevalier de la musique chaâbie à l'échelle locale, qui se trouve malade en ce moment, doit être honoré comme il se doit et à sa juste valeur. Une valeur sûre de l'art algérien, dont les mérites ne doivent pas être limités à une réception ou une invitation. Père d'une famille nombreuse, Brahim Bey vit dans la misère avec le peu que lui rapportent les quelques fêtes qu'il anime.


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