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Un auteur prolifique
Hocine Taileb, dramaturge
Publié dans Le Midi Libre le 21 - 10 - 2007

Hocine Taileb est, dès son plus jeune âge, attiré par le théâtre puisqu'à huit ans déjà, celui-ci intègre la troupe Action Culture et Travail( ACT) créée par Kateb Yacine.
Hocine Taileb est, dès son plus jeune âge, attiré par le théâtre puisqu'à huit ans déjà, celui-ci intègre la troupe Action Culture et Travail( ACT) créée par Kateb Yacine.
C'est à Koléa où il habite que nous avons rencontré Hocine Taileb, auteur de «Zaouadj académie» (mariage académie), pièce de théâtre dont le passage sur les planches du TNA durant le mois de Ramadhan a été bien accueilli par le public. Né le 14 Octobre 1966 à Bab El Oued, Hocine Taileb est, dès son plus jeune âge, attiré par le théâtre puisqu'à huit ans déjà, celui-ci intègre la troupe Action Culture et Travail( ACT) créée par Kateb Yacine. «Durant cette période, j'ai surtout appris à lire», nous dira le dramaturge. Cette lecture était axée sur les différents théâtres du monde et dans leurs divers styles et genres, du vaudeville au plus engagé et de l'anglais au français en passant par le théâtre arabe, particulièrement le syrien, nous a indiqué notre interlocuteur. Exercice qui permettra à l'élève de la troupe ACT de commencer à s'essayer à l'écriture dès l'âge de 18 ans. Il commencera par adapter des œuvres de Saadallah Menous et Mamdouh Adouane, qui ne seront pas montées mais qu'il conservera. Au fur et à mesure que le temps passait et tout en poursuivant ses études à l'université d'Alger où il obtiendra, en 1992, une licence en sociologie option sociologie culturelle, le dramaturge en herbe de l'époque ne cessait de relire et retravailler ses pièces. «C'est durant cette période que mes textes avaient commencé à prendre de la maturité» souligne Hocine Taileb. De cette époque, il conservera le travail d'adaptation qu'il a effectué de la majestueuse «Mouhakamat erradjoul elladhi lam youharib» (Le procès de l'homme qui n'a jamais combattu) de Mamdouh Adouane, sous le titre «Ayna tarakta esseif», actuellement, en projet de réalisation. Après sa licence et son service national effectué, Hocine est recruté à la direction de la culture de la wilaya de Tipasa en qualité de chef de service de l'animation culturelle. Fonction qu'il occupe jusqu'à aujourd'hui. Féru du théâtre, Hocine Taileb intègre la troupe «la relève», c'était en 1997-1998. «Ce retour m'a permis de revoir tous les textes que j'avais écrits ou adaptés auparavant ainsi que la découverte d'un autre art qui est l'écriture du scénario» nous révélera l'auteur de Zaouedj académie. «Mes travaux je les lis ou je les donne, toujours à lire à mes amis artistes, histoire de connaître leurs impressions et avoir d'éventuelles orientations», nous dira Hocine. Et c'est le jour où il avait lu, à Abbes Mohamed Islam du TNA, une pièce intitulée «leilat el qabdh ala Djéha», qu'il venait d'écrire, que celui-ci lui fit part du vœu que formulaient Amar Mohsen et Hakim Dekkar de trouver une suite à la série «Djéha» qu'ils avaient déjà réalisée durant trois années consécutives, auparavant, tout en lui conseillant d'adapter la pièce en scénario pour feuilleton. Chose qui fut faite, nous affirmera Taileb. Il récidive avec «El mesdjoun 111», une pièce que jouera la troupe du théâtre régional de Skikda mais qui, par faute de moyens, ne connaîtra pas une large diffusion. Après cette date, l'auteur dramaturge revient avec le scénario d'un autre feuilleton de 25 épisodes. La trame de ce film intitulé «Les siamoises» et qui est inspiré de la vie de Youcef Boutrif, un sculpteur de la région de Tipasa, raconte le parcours d'une œuvre d'art et la douleur d'un artiste. «C'est ma façon de rendre hommage à ce grand personnage» nous a indiqué l'auteur du scénario. L'œuvre dont la discussion pour sa réalisation est très avancée est aujourd'hui entre les mains d'un producteur, nous révélera Hocine Taileb. Des œuvres en chantier, ce n'est pas cela qui lui manque. Des projets, il en a plein la tête. Pour les œuvres prêtes à la réalisation, Hocine nous révélera avoir terminé l'écriture d'une pièce de théâtre intitulée « Ghaoutia » dont la trame raconte l'histoire d'une danseuse qui se lance dans la politique, mais…. l'œuvre, conçue en ballet-théâtre, est un grand spectacle haut en couleur, complet et très diversifié, nous indiquera son auteur. En phase finale, ce spectacle qui est pris en charge par Nouara Adami de l'Ismas (Institut supérieur des métiers de l'audiovisuel et du spectacle) de Bordj El Kiffan pour la partie chorégraphie et Abbes Mohamed Islam, du même institut, pour la mise en scène, verra le jour dans les prochaines semaines, nous a révélé son auteur. Pour les projets, le faiseur de trames nous a révélé être sur l'écriture de «Thala», un feuilleton en tamazight et sur un autre qui raconte l'Algérie d'avant la colonisation française pour lequel il prospecte et recherche la confection de la trame qui lui sied.
C'est à Koléa où il habite que nous avons rencontré Hocine Taileb, auteur de «Zaouadj académie» (mariage académie), pièce de théâtre dont le passage sur les planches du TNA durant le mois de Ramadhan a été bien accueilli par le public. Né le 14 Octobre 1966 à Bab El Oued, Hocine Taileb est, dès son plus jeune âge, attiré par le théâtre puisqu'à huit ans déjà, celui-ci intègre la troupe Action Culture et Travail( ACT) créée par Kateb Yacine. «Durant cette période, j'ai surtout appris à lire», nous dira le dramaturge. Cette lecture était axée sur les différents théâtres du monde et dans leurs divers styles et genres, du vaudeville au plus engagé et de l'anglais au français en passant par le théâtre arabe, particulièrement le syrien, nous a indiqué notre interlocuteur. Exercice qui permettra à l'élève de la troupe ACT de commencer à s'essayer à l'écriture dès l'âge de 18 ans. Il commencera par adapter des œuvres de Saadallah Menous et Mamdouh Adouane, qui ne seront pas montées mais qu'il conservera. Au fur et à mesure que le temps passait et tout en poursuivant ses études à l'université d'Alger où il obtiendra, en 1992, une licence en sociologie option sociologie culturelle, le dramaturge en herbe de l'époque ne cessait de relire et retravailler ses pièces. «C'est durant cette période que mes textes avaient commencé à prendre de la maturité» souligne Hocine Taileb. De cette époque, il conservera le travail d'adaptation qu'il a effectué de la majestueuse «Mouhakamat erradjoul elladhi lam youharib» (Le procès de l'homme qui n'a jamais combattu) de Mamdouh Adouane, sous le titre «Ayna tarakta esseif», actuellement, en projet de réalisation. Après sa licence et son service national effectué, Hocine est recruté à la direction de la culture de la wilaya de Tipasa en qualité de chef de service de l'animation culturelle. Fonction qu'il occupe jusqu'à aujourd'hui. Féru du théâtre, Hocine Taileb intègre la troupe «la relève», c'était en 1997-1998. «Ce retour m'a permis de revoir tous les textes que j'avais écrits ou adaptés auparavant ainsi que la découverte d'un autre art qui est l'écriture du scénario» nous révélera l'auteur de Zaouedj académie. «Mes travaux je les lis ou je les donne, toujours à lire à mes amis artistes, histoire de connaître leurs impressions et avoir d'éventuelles orientations», nous dira Hocine. Et c'est le jour où il avait lu, à Abbes Mohamed Islam du TNA, une pièce intitulée «leilat el qabdh ala Djéha», qu'il venait d'écrire, que celui-ci lui fit part du vœu que formulaient Amar Mohsen et Hakim Dekkar de trouver une suite à la série «Djéha» qu'ils avaient déjà réalisée durant trois années consécutives, auparavant, tout en lui conseillant d'adapter la pièce en scénario pour feuilleton. Chose qui fut faite, nous affirmera Taileb. Il récidive avec «El mesdjoun 111», une pièce que jouera la troupe du théâtre régional de Skikda mais qui, par faute de moyens, ne connaîtra pas une large diffusion. Après cette date, l'auteur dramaturge revient avec le scénario d'un autre feuilleton de 25 épisodes. La trame de ce film intitulé «Les siamoises» et qui est inspiré de la vie de Youcef Boutrif, un sculpteur de la région de Tipasa, raconte le parcours d'une œuvre d'art et la douleur d'un artiste. «C'est ma façon de rendre hommage à ce grand personnage» nous a indiqué l'auteur du scénario. L'œuvre dont la discussion pour sa réalisation est très avancée est aujourd'hui entre les mains d'un producteur, nous révélera Hocine Taileb. Des œuvres en chantier, ce n'est pas cela qui lui manque. Des projets, il en a plein la tête. Pour les œuvres prêtes à la réalisation, Hocine nous révélera avoir terminé l'écriture d'une pièce de théâtre intitulée « Ghaoutia » dont la trame raconte l'histoire d'une danseuse qui se lance dans la politique, mais…. l'œuvre, conçue en ballet-théâtre, est un grand spectacle haut en couleur, complet et très diversifié, nous indiquera son auteur. En phase finale, ce spectacle qui est pris en charge par Nouara Adami de l'Ismas (Institut supérieur des métiers de l'audiovisuel et du spectacle) de Bordj El Kiffan pour la partie chorégraphie et Abbes Mohamed Islam, du même institut, pour la mise en scène, verra le jour dans les prochaines semaines, nous a révélé son auteur. Pour les projets, le faiseur de trames nous a révélé être sur l'écriture de «Thala», un feuilleton en tamazight et sur un autre qui raconte l'Algérie d'avant la colonisation française pour lequel il prospecte et recherche la confection de la trame qui lui sied.


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