Le risque sismique est désormais une vérité qui s'impose en Algérie. Le dernier séisme, d'une magnitude de 5,3 degrés sur l'échelle ouverte de Richter, qui a été enregistré mercredi dans la région d'Oran et dont l'épicentre a été localisé à 32 km au sud-est d'Oran, prouve selon les experts que le nord de l'Algérie est incontestablement une région à forte sismicité. Il est à signaler qu'en décembre dernier, le CRAAG a enregistré pas moins de 40 séismes de différentes magnitudes à travers le pays. Certains, très faibles, n'ont pas été ressentis par la population. De leur côté les spécialistes ne cessent d'appeler à une prise de conscience des pouvoirs publics pour intégrer de façon permanente le risque sismique dans le développement socio-économique du pays. Sur un autre chapitre, plusieurs experts du CRAAG recommandent aux autorités publiques la réduction du risque, comme garant de préservation des vies humaines et ce, à travers le renforcement des capacités des structures scientifiques pour une meilleure évaluation de l'aléa, l'évaluation de la vulnérabilité du bâti (expertise, confortement et réhabilitation), l'adoption de mesures strictes pour un meilleur aménagement du territoire ainsi que la prise en charge du risque par les assurances (la Cat Nat). Rappelons enfin qu'Alger est, depuis le séisme du 21 mai 2003, classée zone III et passe ainsi de zone de sismicité moyenne à élevée. Quant au territoire national, il est divisé en 5 zones de sismicité croissante (zone zéro, zone I, IIa et IIb et zone III). Le risque sismique est désormais une vérité qui s'impose en Algérie. Le dernier séisme, d'une magnitude de 5,3 degrés sur l'échelle ouverte de Richter, qui a été enregistré mercredi dans la région d'Oran et dont l'épicentre a été localisé à 32 km au sud-est d'Oran, prouve selon les experts que le nord de l'Algérie est incontestablement une région à forte sismicité. Il est à signaler qu'en décembre dernier, le CRAAG a enregistré pas moins de 40 séismes de différentes magnitudes à travers le pays. Certains, très faibles, n'ont pas été ressentis par la population. De leur côté les spécialistes ne cessent d'appeler à une prise de conscience des pouvoirs publics pour intégrer de façon permanente le risque sismique dans le développement socio-économique du pays. Sur un autre chapitre, plusieurs experts du CRAAG recommandent aux autorités publiques la réduction du risque, comme garant de préservation des vies humaines et ce, à travers le renforcement des capacités des structures scientifiques pour une meilleure évaluation de l'aléa, l'évaluation de la vulnérabilité du bâti (expertise, confortement et réhabilitation), l'adoption de mesures strictes pour un meilleur aménagement du territoire ainsi que la prise en charge du risque par les assurances (la Cat Nat). Rappelons enfin qu'Alger est, depuis le séisme du 21 mai 2003, classée zone III et passe ainsi de zone de sismicité moyenne à élevée. Quant au territoire national, il est divisé en 5 zones de sismicité croissante (zone zéro, zone I, IIa et IIb et zone III).