Plusieurs athlètes et participants étrangers au 8ème marathon du Sahara, qui a eu lieu lundi dans les camps des réfugiés sahraouis, ont affirmé qu'ils participent à ce rendez-vous sportif en signe de solidarité avec le combat du peuple et de la jeunesse sahraouis. Plus de 500 athlètes, jeunes et moins jeunes des deux sexes, issus de nombreux pays des cinq continents, ont pris part à cette manifestation sportive aux côtés de jeunes sahraouis inaugurant les festivités du 32e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les marathoniens se sont disputés dans quatre courses, dont la plus longue était de 42 km , trajet qui sépare le camp des réfugiés d'Al Ayoune à celui de Smara. Les autres compétitions qui ont porté sur des distances de 5, 10 et 21 km , ont été réservées aux jeunes amateurs mais aussi aux sportifs plus âgés, notamment des animateurs d'association de solidarité avec le peuple sahraoui. L'ambiance était bon enfant dans le camp de Smara où arrivaient les coureurs dont les vainqueurs étaient chaudement applaudis, mais aussi accueillis avec les youyous des femmes sahraouies massées tout au long de la ligne d'arrivée. L'organisation était parfaite et l'on n'a signalé aucun incident durant le déroulement de ces courses bien encadrées par les organisateurs, les services de santé et d'ordre sahraouis. Par ailleurs, de nombreux athlètes algériens étaient de la partie et la première course de 5 km a été remportée par un jeune de Chlef, qui a déclaré, au finish, être "très heureux" d'avoir pris part pour la première fois, à cette compétition. Une jeune fille espagnole, membre du réseau international "Sports et coopération", a précisé que sa participation est un "témoignage de reconnaissance du juste combat" du peuple sahraoui qui vit depuis plus de trois décennies dans l'exil. Selon un membre de la commission nationale sahraouie organisatrice de cette compétition, devenue une tradition, n'a pas seulement pour objectif de mettre sur pied une activité sportive, mais elle vise également, à "sensibiliser la communauté internationale autour de la situation des réfugiés sahraouis et amener les organisations internationales à contribuer au financement de projets et de programmes sociaux dans le camps des réfugiés, outre l'encouragement des jeunes sahraouis à la pratique sportive". Plusieurs athlètes et participants étrangers au 8ème marathon du Sahara, qui a eu lieu lundi dans les camps des réfugiés sahraouis, ont affirmé qu'ils participent à ce rendez-vous sportif en signe de solidarité avec le combat du peuple et de la jeunesse sahraouis. Plus de 500 athlètes, jeunes et moins jeunes des deux sexes, issus de nombreux pays des cinq continents, ont pris part à cette manifestation sportive aux côtés de jeunes sahraouis inaugurant les festivités du 32e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les marathoniens se sont disputés dans quatre courses, dont la plus longue était de 42 km , trajet qui sépare le camp des réfugiés d'Al Ayoune à celui de Smara. Les autres compétitions qui ont porté sur des distances de 5, 10 et 21 km , ont été réservées aux jeunes amateurs mais aussi aux sportifs plus âgés, notamment des animateurs d'association de solidarité avec le peuple sahraoui. L'ambiance était bon enfant dans le camp de Smara où arrivaient les coureurs dont les vainqueurs étaient chaudement applaudis, mais aussi accueillis avec les youyous des femmes sahraouies massées tout au long de la ligne d'arrivée. L'organisation était parfaite et l'on n'a signalé aucun incident durant le déroulement de ces courses bien encadrées par les organisateurs, les services de santé et d'ordre sahraouis. Par ailleurs, de nombreux athlètes algériens étaient de la partie et la première course de 5 km a été remportée par un jeune de Chlef, qui a déclaré, au finish, être "très heureux" d'avoir pris part pour la première fois, à cette compétition. Une jeune fille espagnole, membre du réseau international "Sports et coopération", a précisé que sa participation est un "témoignage de reconnaissance du juste combat" du peuple sahraoui qui vit depuis plus de trois décennies dans l'exil. Selon un membre de la commission nationale sahraouie organisatrice de cette compétition, devenue une tradition, n'a pas seulement pour objectif de mettre sur pied une activité sportive, mais elle vise également, à "sensibiliser la communauté internationale autour de la situation des réfugiés sahraouis et amener les organisations internationales à contribuer au financement de projets et de programmes sociaux dans le camps des réfugiés, outre l'encouragement des jeunes sahraouis à la pratique sportive".
