L'appel lancé par le ministre français des Affaires étrangères aux ressortissant de son pays les incitant à ne pas quitter l'Algérie, n'a pas été très convaincant. Et pour cause, l'entreprise française de BTP Razel, qui a perdu un de ses ingénieurs dans l'attentat perpétré dimanche à Beni Amrane, a rappelé en France les trois autres Français qui travaillaient dans le chantier de réparation du tunnel ferroviaire d'Ammal, dans la wilaya de Boumerdès. «Nous venons de décider que les trois autres Français qui travaillaient sur le chantier prendraient aujourd'hui même (hier) l'avion pour Paris», a annoncé hier, le directeur de la communication de cette entreprise qui réalise 9 % de son chiffre d'affaire en Algérie. «Pendant un certain temps, le chantier peut fonctionner sans personnel français», a-t-il encore ajouté. L'appel lancé par le ministre français des Affaires étrangères aux ressortissant de son pays les incitant à ne pas quitter l'Algérie, n'a pas été très convaincant. Et pour cause, l'entreprise française de BTP Razel, qui a perdu un de ses ingénieurs dans l'attentat perpétré dimanche à Beni Amrane, a rappelé en France les trois autres Français qui travaillaient dans le chantier de réparation du tunnel ferroviaire d'Ammal, dans la wilaya de Boumerdès. «Nous venons de décider que les trois autres Français qui travaillaient sur le chantier prendraient aujourd'hui même (hier) l'avion pour Paris», a annoncé hier, le directeur de la communication de cette entreprise qui réalise 9 % de son chiffre d'affaire en Algérie. «Pendant un certain temps, le chantier peut fonctionner sans personnel français», a-t-il encore ajouté.