L'interprète de la chanson française Hélène Ségara a affirmé qu'"il y a trop de gens qui l'aiment" en Algérie, lors d'un concert qu'elle a donné jeudi soir à la Coupole d'Alger du complexe sportif Mohamed-Boudiaf, où un public nombreux était présent. Accompagnée par un petit orchestre de musique et d'une choriste, Hélène Ségara, habillée tout en blanc, a entamé son programme par quelques titres phares de son parcours artistique, dont "Je vous aime à Dieu", "Au nom d'une femme" et "Les vallées d'Irlande", titres qui ont déclenché des tonnerres d'applaudissements, accompagnés parfois de you you. Mêlant des airs rock, sentimentaux et même orientaux, cette artiste à la voix profondément puissante, a bercé le public, par ses chansons, dans un éventail de sentiments, rassemblant la tendresse, la révolte, la solitude, la mélancolie et l'amour, un tout exprimé par une spiritualité remarquable. Un duo surprise avec le chanteur-danseur Hakim Salhi a marqué ce concert, il s'agit de "Vivo per lei", titre qu'Hélène a chanté avec le ténor Andrea Bocelli. Evidemment, les fans de cette chanteuse, n'ont pas cessé de réclamer "Il y a trop de gens qui t'aiment" et "Elle, tu l'aimes", titres qu'Hélène n'a pas hésité à les interpréter avec brio. L'artiste a, également, chanté à capella, en fin de la soirée "Tu vas me quitter", sous applaudissements de l'assistance. Lors d'un point de presse animé quelques heures avant le concert, la chanteuse Ségara a souligné l'importance des échanges culturels entre les deux rives de la Méditerranée, pour permettre à ces deux régions de se découvrir et se connaître davantage. "La musique est la seule chose qui n'a pas de frontières, les rencontres interculturelles représentent un élément vital. Il ne faut pas classer la musique par pays ou par région", a-t-elle dit, saluant les différents concerts dédiés à la musique orientale et maghrébine qui sont organisés en France. Hélène Ségara a aussi mis en exergue la nécessité de métisser les cultures et les religions dans un ensemble, a-t-elle dit, d'amour et de paix. Concernant son concert, cette première Esméralda de la comédie musicale "Notre-Dame de Paris" (composée par Richard Cocciante), a précisé qu'il s'agit du même concert qu'elle a donné lors de sa récente tournée en Europe, saluant la boîte organisatrice "Pro Events Entrtainement", qui offre l'occasion à des artistes de différentes nationalités de venir se produire en Algérie. "En venant ici (Algérie), j'ai beaucoup d'amour, car l'amour est un moteur pour tout le monde, essentiellement pour les artistes", a-t-elle dit en réponse à une question relative à une éventuelle réticence de sa part quant au plan sécuritaire du pays. "Il n'y a aucun souci ici, je ne me sens pas inquiète, d'ailleurs j'ai hâte de découvrir quelques rues d'Alger", a indiqué Hélène, soulignant que le fait qu'il y ait des gens qui posent des bombes en Algérie, cela "ne signifie pas que les Algériens n'ont pas de coeur". L'interprète de la chanson française Hélène Ségara a affirmé qu'"il y a trop de gens qui l'aiment" en Algérie, lors d'un concert qu'elle a donné jeudi soir à la Coupole d'Alger du complexe sportif Mohamed-Boudiaf, où un public nombreux était présent. Accompagnée par un petit orchestre de musique et d'une choriste, Hélène Ségara, habillée tout en blanc, a entamé son programme par quelques titres phares de son parcours artistique, dont "Je vous aime à Dieu", "Au nom d'une femme" et "Les vallées d'Irlande", titres qui ont déclenché des tonnerres d'applaudissements, accompagnés parfois de you you. Mêlant des airs rock, sentimentaux et même orientaux, cette artiste à la voix profondément puissante, a bercé le public, par ses chansons, dans un éventail de sentiments, rassemblant la tendresse, la révolte, la solitude, la mélancolie et l'amour, un tout exprimé par une spiritualité remarquable. Un duo surprise avec le chanteur-danseur Hakim Salhi a marqué ce concert, il s'agit de "Vivo per lei", titre qu'Hélène a chanté avec le ténor Andrea Bocelli. Evidemment, les fans de cette chanteuse, n'ont pas cessé de réclamer "Il y a trop de gens qui t'aiment" et "Elle, tu l'aimes", titres qu'Hélène n'a pas hésité à les interpréter avec brio. L'artiste a, également, chanté à capella, en fin de la soirée "Tu vas me quitter", sous applaudissements de l'assistance. Lors d'un point de presse animé quelques heures avant le concert, la chanteuse Ségara a souligné l'importance des échanges culturels entre les deux rives de la Méditerranée, pour permettre à ces deux régions de se découvrir et se connaître davantage. "La musique est la seule chose qui n'a pas de frontières, les rencontres interculturelles représentent un élément vital. Il ne faut pas classer la musique par pays ou par région", a-t-elle dit, saluant les différents concerts dédiés à la musique orientale et maghrébine qui sont organisés en France. Hélène Ségara a aussi mis en exergue la nécessité de métisser les cultures et les religions dans un ensemble, a-t-elle dit, d'amour et de paix. Concernant son concert, cette première Esméralda de la comédie musicale "Notre-Dame de Paris" (composée par Richard Cocciante), a précisé qu'il s'agit du même concert qu'elle a donné lors de sa récente tournée en Europe, saluant la boîte organisatrice "Pro Events Entrtainement", qui offre l'occasion à des artistes de différentes nationalités de venir se produire en Algérie. "En venant ici (Algérie), j'ai beaucoup d'amour, car l'amour est un moteur pour tout le monde, essentiellement pour les artistes", a-t-elle dit en réponse à une question relative à une éventuelle réticence de sa part quant au plan sécuritaire du pays. "Il n'y a aucun souci ici, je ne me sens pas inquiète, d'ailleurs j'ai hâte de découvrir quelques rues d'Alger", a indiqué Hélène, soulignant que le fait qu'il y ait des gens qui posent des bombes en Algérie, cela "ne signifie pas que les Algériens n'ont pas de coeur".