Après deux reports pour quorum non atteint, l'assemblée générale élective de l'association sportive ESSA (entente sportive de Souk Ahras) s'est enfin tenue hier au théâtre Mustapha Kateb en présence de 45 membres sur les 97 que compte l'AG, dont les présidents des 9 sections affiliées, football, hand ball, volley ball, basket ball, athlétisme, judo, karaté, tennis et Boules. Deux candidats, en l'occurrence Ali Rouaïnia ex-président de la section football et Djamel Ben Abid, vice-président de l'APC, se sont présentés. A l'annonce des résultats des urnes qui plébiscitèrent Ali Rouaïnia à la tête de l'association avec 23 voix, une langue ovation s'en est suivie. Le nouveau président et le bureau de 9 membres élus se voient confier la lourde tâche de redorer le blason de Souk Ahras, autrefois producteur de talents sportifs à l'image des équipes d'athlétisme des années 1986/1987, de hand-ball des années 2001/2002 ou encore, de football, des années 2006/2007. Cependant le manque d'infrastructures sportives et de moyens financiers, risque fort d'entraver le bon fonctionnement des différents clubs et de transformer les espérances des Souk-Ahrassiens en un rêve irréalisable. Après deux reports pour quorum non atteint, l'assemblée générale élective de l'association sportive ESSA (entente sportive de Souk Ahras) s'est enfin tenue hier au théâtre Mustapha Kateb en présence de 45 membres sur les 97 que compte l'AG, dont les présidents des 9 sections affiliées, football, hand ball, volley ball, basket ball, athlétisme, judo, karaté, tennis et Boules. Deux candidats, en l'occurrence Ali Rouaïnia ex-président de la section football et Djamel Ben Abid, vice-président de l'APC, se sont présentés. A l'annonce des résultats des urnes qui plébiscitèrent Ali Rouaïnia à la tête de l'association avec 23 voix, une langue ovation s'en est suivie. Le nouveau président et le bureau de 9 membres élus se voient confier la lourde tâche de redorer le blason de Souk Ahras, autrefois producteur de talents sportifs à l'image des équipes d'athlétisme des années 1986/1987, de hand-ball des années 2001/2002 ou encore, de football, des années 2006/2007. Cependant le manque d'infrastructures sportives et de moyens financiers, risque fort d'entraver le bon fonctionnement des différents clubs et de transformer les espérances des Souk-Ahrassiens en un rêve irréalisable.
