Les fortes précipitations qu'a connues la wilaya de Tizi-Ouzou la nuit du vendredi et la journée du lundi ont causé des inondations dans plusieurs localités y compris au niveau du chef-lieu de wilaya où les routes et les trottoirs ont été presque totalement inondés. Ces pluies qui rappellent celles du 1er novembre 2007 ont suscité la peur chez les habitants dont certains sont même descendus dans la rue pour exprimer leur colère et leur mécontentement face à la lenteur dans la réalisation des projets à même de réduire les désagréments que doivent subir les citoyens à chaque pluie. C'est le cas des habitants de Boukhalfa, un grand village de la banlieue de Tizi-Ouzou, qui ont coupé la route hier matin après que toute la localité eut été inondée par les eaux de pluie qui provenaient du mont Rdjaouna qui la surplombe. Selon un membre de la coordination des comités de villages de Boukhalfa, l'eau est arrivée jusqu'à la RN 12 qui a été inondée. Il a fallu l'intervention des autorités locales pour calmer les esprits et rouvrir la route à la circulation. Même scénario à Tamda où les habitants de ce village de la daïra de Ouaguenoun ont coupé la RN 12. Par ailleurs, les étudiants ainsi que les enseignants n'ont pas rejoint le pôle universitaire de Tamda qui devrait être rouvert aujourd'hui et qui a été fermé par les habitants qui demandent que les postes d'emploi, notamment pour les sans niveau, créés au niveau du campus reviennent aux habitants de la localité. La circulation était complètement bloquée. Là aussi, il a fallu user de beaucoup de promesses pour rassurer les citoyens. Il est à noter que dans les deux cas, les manifestants ont dénoncé le retard dans la réalisation des travaux relatifs à la prise en charge du problème des inondations. Selon un bilan provisoire de la Protection civile faisant état des plus importants cas d'inondations, les fortes précipitations ont causé l'inondation du port d'Azeffoun et de la RN 24 ce qui a rendu la circulation impossible à ce niveau. Les éléments de la Protection civile ont dû évacuer une famille qui habite près du port et dont la maison a été inondée et deux autres familles par mesure de prévention. Au niveau de la localité de Bouzguène, la cour du lycée technique et une maison du village Tazrout ont été inondées. A Draâ Ben Khedda, une habitation de la cité les Combattants, sise près de la mosquée de la ville, a été inondée dans l'après-midi d‘hier, et après une brève accalmie, les pluies sont devenues diluviennes ce qui a nécessité la mobilisation de tous les éléments de la Protection civile. Les fortes précipitations qu'a connues la wilaya de Tizi-Ouzou la nuit du vendredi et la journée du lundi ont causé des inondations dans plusieurs localités y compris au niveau du chef-lieu de wilaya où les routes et les trottoirs ont été presque totalement inondés. Ces pluies qui rappellent celles du 1er novembre 2007 ont suscité la peur chez les habitants dont certains sont même descendus dans la rue pour exprimer leur colère et leur mécontentement face à la lenteur dans la réalisation des projets à même de réduire les désagréments que doivent subir les citoyens à chaque pluie. C'est le cas des habitants de Boukhalfa, un grand village de la banlieue de Tizi-Ouzou, qui ont coupé la route hier matin après que toute la localité eut été inondée par les eaux de pluie qui provenaient du mont Rdjaouna qui la surplombe. Selon un membre de la coordination des comités de villages de Boukhalfa, l'eau est arrivée jusqu'à la RN 12 qui a été inondée. Il a fallu l'intervention des autorités locales pour calmer les esprits et rouvrir la route à la circulation. Même scénario à Tamda où les habitants de ce village de la daïra de Ouaguenoun ont coupé la RN 12. Par ailleurs, les étudiants ainsi que les enseignants n'ont pas rejoint le pôle universitaire de Tamda qui devrait être rouvert aujourd'hui et qui a été fermé par les habitants qui demandent que les postes d'emploi, notamment pour les sans niveau, créés au niveau du campus reviennent aux habitants de la localité. La circulation était complètement bloquée. Là aussi, il a fallu user de beaucoup de promesses pour rassurer les citoyens. Il est à noter que dans les deux cas, les manifestants ont dénoncé le retard dans la réalisation des travaux relatifs à la prise en charge du problème des inondations. Selon un bilan provisoire de la Protection civile faisant état des plus importants cas d'inondations, les fortes précipitations ont causé l'inondation du port d'Azeffoun et de la RN 24 ce qui a rendu la circulation impossible à ce niveau. Les éléments de la Protection civile ont dû évacuer une famille qui habite près du port et dont la maison a été inondée et deux autres familles par mesure de prévention. Au niveau de la localité de Bouzguène, la cour du lycée technique et une maison du village Tazrout ont été inondées. A Draâ Ben Khedda, une habitation de la cité les Combattants, sise près de la mosquée de la ville, a été inondée dans l'après-midi d‘hier, et après une brève accalmie, les pluies sont devenues diluviennes ce qui a nécessité la mobilisation de tous les éléments de la Protection civile.