Au vingt et unième jour de l'agression contre Ghaza, les raids nocturnes de l'armée israélienne continuent de cibler des édifices civils. Un hôpital palestinien a été bombardé faisant une cinquantaine de morts ainsi qu'une structure humanitaire de l'ONU, l'UNRWA. Le Sommet de Doha qui s'est tenu à la demande du Qatar s'est transformé en réunion consultative où seulement quatorze pays ont pris part dont l'Algérie représentée par le Président Bouteflika. Des pays comme la Syrie demandent aux pays arabes qui ont des relations diplomatiques avec Israël de les rompre. En Algérie, la mobilisation avec le peuple palestinien est toujours de mise. D'imposantes marches ont eu lieu à l'intérieur du pays. Les Algériens ont répondu massivement à l'appel du ministère de la Santé en vue d'une collecte de sang au profit des victimes palestiniennes. Quant aux ressortissants algériens résidant à Ghaza, qui sont parvenus à se rendre au Caire, ils doivent être incessamment rapatriés. En attendant, le décompte macabre fait état de 1.130 morts et plus de 5.000 blessés. Au vingt et unième jour de l'agression contre Ghaza, les raids nocturnes de l'armée israélienne continuent de cibler des édifices civils. Un hôpital palestinien a été bombardé faisant une cinquantaine de morts ainsi qu'une structure humanitaire de l'ONU, l'UNRWA. Le Sommet de Doha qui s'est tenu à la demande du Qatar s'est transformé en réunion consultative où seulement quatorze pays ont pris part dont l'Algérie représentée par le Président Bouteflika. Des pays comme la Syrie demandent aux pays arabes qui ont des relations diplomatiques avec Israël de les rompre. En Algérie, la mobilisation avec le peuple palestinien est toujours de mise. D'imposantes marches ont eu lieu à l'intérieur du pays. Les Algériens ont répondu massivement à l'appel du ministère de la Santé en vue d'une collecte de sang au profit des victimes palestiniennes. Quant aux ressortissants algériens résidant à Ghaza, qui sont parvenus à se rendre au Caire, ils doivent être incessamment rapatriés. En attendant, le décompte macabre fait état de 1.130 morts et plus de 5.000 blessés. 1130 morts au 20ème jour de l'agression contre Ghaza Le Tsahal bombarde un hôpital et le QG de l'UNRWA Dans la nuit de jeudi à vendredi, une quarantaine de raids nocturnes menés par l'armée israélienne ont pilonné Ghaza en ciblant des édifices civils dont une mosquée au nord de la ville. Jeudi, Israël a intensifié ses bombardements aériens et terrestres sur la bande de Ghaza en ciblant plusieurs édifices humanitaires dont une structure des Nations unies, et cela au moment même où le secrétaire général de l'ONU était en Israël. « Ce qui revient à défier le monde et à s'en moquer » a estimé Ban Ki-moon dont l'organisation ne cesse d'appeler à un cessez-le-feu. Même les structures sanitaires n'ont pas été épargnées à l'image de l'hôpital El Qods ravagé par les flammes selon des témoins cités par les agences de presse dont le bâtiment qui abrite les locaux a été la cible des attaques de l'armée israélienne, Des sources hospitalières palestiniennes ont indiqué qu'au moins 50 palestiniens ont été tués des suites de ces incursions. Ce qui, selon les services d'urgence à Ghaza, porte le nombre de victimes à 1.130 morts dont 355 enfants et 100 femmes, et plus de 5.130 blessés, Le Comité international de la Croix- Rouge (CICR) a condamné l'attaque israélienne perpétrée jeudi contre l'hôpital Al Qods qui a mis en danger la vie d'une centaine de patients suite à l'incendie provoqué par les bombardements au cours desquels Saïd Siam, un des chefs du Hamas a été tué. Des milliers d'adeptes du parti islamiste ont participé hier à Ghaza aux funérailles du martyr rapporte les agences de presse qui précisent que « le corps de Saïd Siam, recouvert d'un drapeau vert du Hamas, a été porté sur les épaules jusqu'au cimetière des "Martyrs" dans le nord de la ville, où sont enterrés d'autres chefs du mouvement comme,Ahmed Yacine et son successeur Abdelaziz Rantissi. Siad Siam, également député du Hamas au Parlement palestinien, est le plus haut dirigeant du mouvement islamiste à être tué par l'armée israélienne depuis le déclenchement de son offensive le 27 décembre contre la bande de Ghaza où la situation humanitaire est des plus « dramatique » selon l'ONU. Un million d'habitants vivent sans électricité, 750.000 sont sans eau et les hôpitaux fonctionnent grâce à des générateurs de secours, a indiqué l'ONU dont l'agence d'aide humanitaire aux réfugiés palestiniens, l'Unrwa, touché par les obus, a suspendu partiellement ses opérations à Ghaza Ville. L'Unrwa avait mis en garde jeudi au Caire contre une catastrophe à Ghaza en cas de bombardement de la partie du complexe principal de l'agence où est stocké le carburant destiné à la population ghazaouie et où sont stationnés les camions qui acheminent les aides. R. N. 1130 morts au 20ème jour de l'agression contre Ghaza Le Tsahal bombarde un hôpital et le QG de l'UNRWA Dans la nuit de jeudi à vendredi, une quarantaine de raids nocturnes menés par l'armée israélienne ont pilonné Ghaza en ciblant des édifices civils dont une mosquée au nord de la ville. Jeudi, Israël a intensifié ses bombardements aériens et terrestres sur la bande de Ghaza en ciblant plusieurs édifices humanitaires dont une structure des Nations unies, et cela au moment même où le secrétaire général de l'ONU était en Israël. « Ce qui revient à défier le monde et à s'en moquer » a estimé Ban Ki-moon dont l'organisation ne cesse d'appeler à un cessez-le-feu. Même les structures sanitaires n'ont pas été épargnées à l'image de l'hôpital El Qods ravagé par les flammes selon des témoins cités par les agences de presse dont le bâtiment qui abrite les locaux a été la cible des attaques de l'armée israélienne, Des sources hospitalières palestiniennes ont indiqué qu'au moins 50 palestiniens ont été tués des suites de ces incursions. Ce qui, selon les services d'urgence à Ghaza, porte le nombre de victimes à 1.130 morts dont 355 enfants et 100 femmes, et plus de 5.130 blessés, Le Comité international de la Croix- Rouge (CICR) a condamné l'attaque israélienne perpétrée jeudi contre l'hôpital Al Qods qui a mis en danger la vie d'une centaine de patients suite à l'incendie provoqué par les bombardements au cours desquels Saïd Siam, un des chefs du Hamas a été tué. Des milliers d'adeptes du parti islamiste ont participé hier à Ghaza aux funérailles du martyr rapporte les agences de presse qui précisent que « le corps de Saïd Siam, recouvert d'un drapeau vert du Hamas, a été porté sur les épaules jusqu'au cimetière des "Martyrs" dans le nord de la ville, où sont enterrés d'autres chefs du mouvement comme,Ahmed Yacine et son successeur Abdelaziz Rantissi. Siad Siam, également député du Hamas au Parlement palestinien, est le plus haut dirigeant du mouvement islamiste à être tué par l'armée israélienne depuis le déclenchement de son offensive le 27 décembre contre la bande de Ghaza où la situation humanitaire est des plus « dramatique » selon l'ONU. Un million d'habitants vivent sans électricité, 750.000 sont sans eau et les hôpitaux fonctionnent grâce à des générateurs de secours, a indiqué l'ONU dont l'agence d'aide humanitaire aux réfugiés palestiniens, l'Unrwa, touché par les obus, a suspendu partiellement ses opérations à Ghaza Ville. L'Unrwa avait mis en garde jeudi au Caire contre une catastrophe à Ghaza en cas de bombardement de la partie du complexe principal de l'agence où est stocké le carburant destiné à la population ghazaouie et où sont stationnés les camions qui acheminent les aides. R. N.