La population de cette localité, faisant partie de la daïra de Bouhadjar, souffre cruellement du manque d'eau potable. Le wali et l'importante délégation qui l'accompagnait dans son périple à travers les communes ont été accueillis à Hanachir, un hameau situé sur la bande frontalière algéro-tunisienne, par des jerricans vides. Selon les habitants les foyers n'auraient pas reçu dans leurs robinets cette précieuse denrée depuis plus d'une quinzaine de jours. De nombreuses femmes se trouvaient parmi les protestataires, elles brandissaient toutes des jerricans vides. Le wali a promis de régler le problème immédiatement et a ordonné au responsable exécutif de prendre en charge cette situation qui ne devrait pas exister, du fait que la wilaya dispose de deux barrages. Mais comme dit l'adage, "ce sont souvent les cordonniers qui sont les plus mal chaussés". On dira pour ce cas de figure "ce sont les populations qui ont le plus de moyens hydrauliques qui ont soif". Certains responsables, pour dégager leur responsabilité, se cachent derrière de faux arguments afin de berner leur hiérarchie. Ces femmes mécontentes ont rapporté de vive voix leurs préoccupations et peines qu'ils endurent depuis trop longtemps. Des citoyens lui ont fait part aussi de l'état délabré des chaussées menant vers les différents villages et douars, surtout le chemin qui permet de rejoindre le chef-lieu communal, Aïn Kerma, une bourgade de plus de 15.000 habitants En tout état de cause, le wali a été très attentif à toutes ces préoccupations. Il ne manquera pas d'apporter une solution, du moment que la daïra dispose du plus grand barrage, en l'occurrence, celui de Bounamoussa dans la commune de Heffia, daïra de Bouteldja. Le manque d'eau se pose avec acuité pour l"ensemble du territoire de la commune alimentée à partir de Bounamoussa La population de cette localité, faisant partie de la daïra de Bouhadjar, souffre cruellement du manque d'eau potable. Le wali et l'importante délégation qui l'accompagnait dans son périple à travers les communes ont été accueillis à Hanachir, un hameau situé sur la bande frontalière algéro-tunisienne, par des jerricans vides. Selon les habitants les foyers n'auraient pas reçu dans leurs robinets cette précieuse denrée depuis plus d'une quinzaine de jours. De nombreuses femmes se trouvaient parmi les protestataires, elles brandissaient toutes des jerricans vides. Le wali a promis de régler le problème immédiatement et a ordonné au responsable exécutif de prendre en charge cette situation qui ne devrait pas exister, du fait que la wilaya dispose de deux barrages. Mais comme dit l'adage, "ce sont souvent les cordonniers qui sont les plus mal chaussés". On dira pour ce cas de figure "ce sont les populations qui ont le plus de moyens hydrauliques qui ont soif". Certains responsables, pour dégager leur responsabilité, se cachent derrière de faux arguments afin de berner leur hiérarchie. Ces femmes mécontentes ont rapporté de vive voix leurs préoccupations et peines qu'ils endurent depuis trop longtemps. Des citoyens lui ont fait part aussi de l'état délabré des chaussées menant vers les différents villages et douars, surtout le chemin qui permet de rejoindre le chef-lieu communal, Aïn Kerma, une bourgade de plus de 15.000 habitants En tout état de cause, le wali a été très attentif à toutes ces préoccupations. Il ne manquera pas d'apporter une solution, du moment que la daïra dispose du plus grand barrage, en l'occurrence, celui de Bounamoussa dans la commune de Heffia, daïra de Bouteldja. Le manque d'eau se pose avec acuité pour l"ensemble du territoire de la commune alimentée à partir de Bounamoussa
