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Un havre de paix à réhabiliter
Guelma, Square Mostefa-Seridi
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 10 - 2009

Ce jardin public qui porte le nom d'un chahid de la région, désormais ouvert H24, est entretenu de manière sporadique par des ouvriers communaux. A la tombée de la nuit, il est investi par des délinquants qui s'adonnent en toute impunité à la consommation de boissons alcoolisées et de stupéfiants à la faveur d'un éclairage public déficient.
Ce jardin public qui porte le nom d'un chahid de la région, désormais ouvert H24, est entretenu de manière sporadique par des ouvriers communaux. A la tombée de la nuit, il est investi par des délinquants qui s'adonnent en toute impunité à la consommation de boissons alcoolisées et de stupéfiants à la faveur d'un éclairage public déficient.
Patrimoine culturel datant de l'époque coloniale, ce square, fierté de la ville du 8-Mai 1945, qui abritait de nombreuses statues et vestiges romains, était un véritable havre de paix puisque des citoyens, particulièrement des personnes âgées, prenaient plaisir, assis sur des bancs, à passer de délicieuses heures de détente à l'ombre d'arbres de différentes essences. Des jardiniers entretenaient jalousement des carrés de fleurs et des gardiens vigilants veillaient à l'état des lieux et fermaient les deux portails à la tombée de la nuit car ce site était entouré d'une clôture en fer forgé. Durant la guerre de Libération nationale, des statues et des vestiges romains d'une valeur inestimable ont été emportés par des officiers français et des colons. Dès l'Indépendance, ce square, qui dispose encore de quelques vestiges de l'époque romaine et d'arbres centenaires, constituait un paradisiaque lieu de détente pour les Guelmis. Néanmoins, au cours des années 80, le wali de l'époque avait ordonné la suppression de la légendaire clôture en fer forgé et l'aménagement de deux kiosques, des cafétérias où s'attablaient des clients. Ouvert aux quatre vents, ce jardin public qui porte le nom d'un chahid de la région, désormais ouvert H24, est entretenu de manière sporadique par des ouvriers communaux. A la tombée de la nuit, il est investi par des délinquants qui s'adonnent en toute impunité à la consommation de boissons alcoolisées et de stupéfiants à la faveur d'un éclairage public déficient. La population déplore la dégradation de ce patrimoine de la ville et s'étonne de l'attitude passive des élus locaux. Le semblant de trottoir longeant l'ancienne caserne qui abrite le lycée du 1er Novembre, dont l'entrée des élèves donne sur le square, est un dépotoir à ciel ouvert. Des énergumènes peu scrupuleux se soulagent dans ces lieux. La sonnette d'alarme est tirée car il est impératif que ce square soit réhabilité et retrouve sa véritable vocation.
Patrimoine culturel datant de l'époque coloniale, ce square, fierté de la ville du 8-Mai 1945, qui abritait de nombreuses statues et vestiges romains, était un véritable havre de paix puisque des citoyens, particulièrement des personnes âgées, prenaient plaisir, assis sur des bancs, à passer de délicieuses heures de détente à l'ombre d'arbres de différentes essences. Des jardiniers entretenaient jalousement des carrés de fleurs et des gardiens vigilants veillaient à l'état des lieux et fermaient les deux portails à la tombée de la nuit car ce site était entouré d'une clôture en fer forgé. Durant la guerre de Libération nationale, des statues et des vestiges romains d'une valeur inestimable ont été emportés par des officiers français et des colons. Dès l'Indépendance, ce square, qui dispose encore de quelques vestiges de l'époque romaine et d'arbres centenaires, constituait un paradisiaque lieu de détente pour les Guelmis. Néanmoins, au cours des années 80, le wali de l'époque avait ordonné la suppression de la légendaire clôture en fer forgé et l'aménagement de deux kiosques, des cafétérias où s'attablaient des clients. Ouvert aux quatre vents, ce jardin public qui porte le nom d'un chahid de la région, désormais ouvert H24, est entretenu de manière sporadique par des ouvriers communaux. A la tombée de la nuit, il est investi par des délinquants qui s'adonnent en toute impunité à la consommation de boissons alcoolisées et de stupéfiants à la faveur d'un éclairage public déficient. La population déplore la dégradation de ce patrimoine de la ville et s'étonne de l'attitude passive des élus locaux. Le semblant de trottoir longeant l'ancienne caserne qui abrite le lycée du 1er Novembre, dont l'entrée des élèves donne sur le square, est un dépotoir à ciel ouvert. Des énergumènes peu scrupuleux se soulagent dans ces lieux. La sonnette d'alarme est tirée car il est impératif que ce square soit réhabilité et retrouve sa véritable vocation.


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