Parmi les figures emblématiques d'Algérie, ayant participé autant à la révolution qu'à l'édification, le docteur Ahmed Benabid, une personnalité notoire dans toute la région des Bibans, durant la révolution et après l'Indépendance. En 1939, date à laquelle il obtint son doctorat en médecine de la faculté de Grenoble, mais aussi une date qui coïncida avec le début de la Seconde Guerre mondiale. Le toubib se rallia comme des milliers d'Algériens, au clan des alliés pour combattre le nazisme. En 1945, il adhère au MTLD jusqu'au déclenchement de la révolution pour intégrer l'ALN, tout en s'occupant des populations démunies. Après l'Indépendance, un poste de ministre de la Santé lui avait été proposé mais qu'il déclina, préférant exercer son métier dans un cabinet médical qu'il a ouvert à la rue Didouche-Mourad, à Bordj Bou -Arréridj jusqu'à sa mort en 1999 après des décennies de bons et loyaux services. Sur les traces de son père, le professeur A. Louis Benabid de renommée mondiale, chef de service neurologie du CHU de Grenoble qui est le premier au monde à mettre au point une technique de neurochirurgie en introduisant la manotechnologie dans le traitement de certaines maladies cérébrales. Parmi les figures emblématiques d'Algérie, ayant participé autant à la révolution qu'à l'édification, le docteur Ahmed Benabid, une personnalité notoire dans toute la région des Bibans, durant la révolution et après l'Indépendance. En 1939, date à laquelle il obtint son doctorat en médecine de la faculté de Grenoble, mais aussi une date qui coïncida avec le début de la Seconde Guerre mondiale. Le toubib se rallia comme des milliers d'Algériens, au clan des alliés pour combattre le nazisme. En 1945, il adhère au MTLD jusqu'au déclenchement de la révolution pour intégrer l'ALN, tout en s'occupant des populations démunies. Après l'Indépendance, un poste de ministre de la Santé lui avait été proposé mais qu'il déclina, préférant exercer son métier dans un cabinet médical qu'il a ouvert à la rue Didouche-Mourad, à Bordj Bou -Arréridj jusqu'à sa mort en 1999 après des décennies de bons et loyaux services. Sur les traces de son père, le professeur A. Louis Benabid de renommée mondiale, chef de service neurologie du CHU de Grenoble qui est le premier au monde à mettre au point une technique de neurochirurgie en introduisant la manotechnologie dans le traitement de certaines maladies cérébrales.
