Midi Libre : Comment vous sentez-vous à quelques jours du match? Kamel Kaci Saïd : Très bien. Je suis comme tous les Algériens, impatient que ce samedi arrive pour voir enfin notre EN valider son billet pour l'Afrique du Sud. Justement, à J-4 du choc, comment se sent un joueur qui va représenter toute une nation surtout que vous connaissez la chanson ? Plusieurs sentiments à la fois. Vous êtes impatient que le jour J arrive; vous craignez de passez à côté de votre sujet ce jour-là ; vous êtes prêt à affronter l'adversaire et en même temps, vous pensez qu'il faut encore vous préparez. Mais, le jour J, vous ne pensez à rien. Vous rentrez sur le terrain avec une seule idée en tête c'est de vous donnez à fond la caisse pour présenter comme il se doit votre pays. Vous avez connu les confrontations entre Algériens et Egyptiens. Que diriez-vous sur cette rencontre ? Je pense qu'on a un groupe de pros qui ne va pas être impressionné par les Egyptiens. Ils savent ce qui les attend en Egypte, mais ils ne craignent rien. Ils sont habitués à ce genre de pression. Je pense que le fait que nos joueurs aient réalisé un bon parcours leur permettre de se rendre en Egypte avec un moral d'acier. Les rendez-vous des Verts au Caire ont tous connu des échecs, comme en 1989… Ce ne sont pas les mêmes données. Quand on partait en Egypte, c'était la peur au ventre. Car le match aller chez nous était en faveur des Pharaons. Cette fois c'est différent. On a battu les Egyptiens par un score lourd de trois buts à un. Ce sont les Egyptiens qui vont évoluer la peur au ventre. Car ils sont obligés de nous battre avec au moins deux buts. Ce n'est pas notre cas. On peut se permettre le nul, la défaite par un but de différence et la gagne. Trois options que l'adversaire n'a pas. Ce qui rend notre tâche plus facile. Vous paraissez optimiste… On est à un cheveu de la validation de notre ticket pour le Mondial. Il faut optimiser et soutenir notre équipe à fond la caisse pour que le 14 novembre soit le jour d'une grande fête pour les Algériens. En tous les cas, on est tous derrière cette équipe et on la soutient à fond. Vous êtes au courant qu'on a des joueurs blessés... Je suis persuadé que le staff médical fera le maximum pour remettre sur pied les blessés. C'est une certitude, tout le groupe ne ratera pour rien au monde le rendez-vous du 14. C'est le rêve de tout Algérien qui va se réaliser ce jour-là. Donc, chaque personne voudrai participer à l'exploit. Midi Libre : Comment vous sentez-vous à quelques jours du match? Kamel Kaci Saïd : Très bien. Je suis comme tous les Algériens, impatient que ce samedi arrive pour voir enfin notre EN valider son billet pour l'Afrique du Sud. Justement, à J-4 du choc, comment se sent un joueur qui va représenter toute une nation surtout que vous connaissez la chanson ? Plusieurs sentiments à la fois. Vous êtes impatient que le jour J arrive; vous craignez de passez à côté de votre sujet ce jour-là ; vous êtes prêt à affronter l'adversaire et en même temps, vous pensez qu'il faut encore vous préparez. Mais, le jour J, vous ne pensez à rien. Vous rentrez sur le terrain avec une seule idée en tête c'est de vous donnez à fond la caisse pour présenter comme il se doit votre pays. Vous avez connu les confrontations entre Algériens et Egyptiens. Que diriez-vous sur cette rencontre ? Je pense qu'on a un groupe de pros qui ne va pas être impressionné par les Egyptiens. Ils savent ce qui les attend en Egypte, mais ils ne craignent rien. Ils sont habitués à ce genre de pression. Je pense que le fait que nos joueurs aient réalisé un bon parcours leur permettre de se rendre en Egypte avec un moral d'acier. Les rendez-vous des Verts au Caire ont tous connu des échecs, comme en 1989… Ce ne sont pas les mêmes données. Quand on partait en Egypte, c'était la peur au ventre. Car le match aller chez nous était en faveur des Pharaons. Cette fois c'est différent. On a battu les Egyptiens par un score lourd de trois buts à un. Ce sont les Egyptiens qui vont évoluer la peur au ventre. Car ils sont obligés de nous battre avec au moins deux buts. Ce n'est pas notre cas. On peut se permettre le nul, la défaite par un but de différence et la gagne. Trois options que l'adversaire n'a pas. Ce qui rend notre tâche plus facile. Vous paraissez optimiste… On est à un cheveu de la validation de notre ticket pour le Mondial. Il faut optimiser et soutenir notre équipe à fond la caisse pour que le 14 novembre soit le jour d'une grande fête pour les Algériens. En tous les cas, on est tous derrière cette équipe et on la soutient à fond. Vous êtes au courant qu'on a des joueurs blessés... Je suis persuadé que le staff médical fera le maximum pour remettre sur pied les blessés. C'est une certitude, tout le groupe ne ratera pour rien au monde le rendez-vous du 14. C'est le rêve de tout Algérien qui va se réaliser ce jour-là. Donc, chaque personne voudrai participer à l'exploit.
