Née en 2003 à Annaba, l'association «Aniss» ne cesse de travailler pour donner de l'écho à son objectif primordial qui est la lutte contre les infections sexuellement transmissibles et la promotion de la santé. Née en 2003 à Annaba, l'association «Aniss» ne cesse de travailler pour donner de l'écho à son objectif primordial qui est la lutte contre les infections sexuellement transmissibles et la promotion de la santé. La prévention contre le Sida et la prise en charge psychosociale des personnes atteintes est pour «Aniss» un défi à relever et surtout à réussir. De l'avis des acteurs de cette association, lutter contre le Sida est, avant toutes choses, une information consistante sur la maladie, sur les voies de contamination et surtout sur les comportements et gestes à assurer dans sa vie quotidienne. Ainsi, «Aniss» veut briser la loi de l'omerta en tentant d'extirper cette maladie de la liste des tabous sociaux. C'est pourquoi ladite association, via sa campagne de sensibilisation, vise une population plutôt laissée à l'écart de la couverture sanitaire, de l'information et, par ricochet, du savoir préventif. Ainsi, elle ne se suffit pas de campagne à connotation académique ou scientifique mais va jusqu'à approcher les personnes vulnérables, à l'image des jeunes, des émigrés clandestins et des prostituées. Au-delà de la prévention, l'autre face du combat de cette association est la prise en charge des personnes malades. Le malade est effectivement marginalisé et perçu par la société comme un infirme. Un jugement qui le prive du droit à la vie normale. Pourtant les spécialistes affirment que le malade doit uniquement se conformer à un régime alimentaire adéquat et une hygiène de vie définie pour pouvoir apprivoiser sa maladie et vivre avec sans complication. Dans une conférence de presse qu'il a animée avant-hier à l'occasion de la journée mondiale de la lutte contre le Sida coïncidant avec le premier décembre de chaque année, le président de l'association, M.Skander Abdelkader Soufi a émis le vœux que «les malades vivant avec me VIH/SIDA cessent d'être considérés, trente ans après l'apparition de l'épidémie, comme des cas et non comme des personnes. Ils continuent à travers le monde à être la cible d'attitudes stigmatisantes et de comportements discriminatoires portant atteinte à leur dignité et les privant de leur droit». «Aniss» œuvre actuellement pour la protection des enfants handicapés victimes d'abus sexuels et plus particulièrement ceux qui ont contracté le Sida. Aussi cette même association a mis en place un réseau entre les universités nationales pour mieux cerner la population juvénile exposée grandement à la contamination. Son activité s'inscrit dans le cadre du thème retenu cette année pour la célébration de la journée mondiale de la lutte contre le Sida, à savoir «Accès universel et droits humains». Le chanteur Lotfi Double canon demeure incontestablement un soutien important pour l'association, mais surtout pour les jeunes qui se retrouvent perdus dans un amalgame de modernité et d'ignorance. Lotfi Double canon accompagne l'action de l'association, approche la population avec son langage libertin, direct et convaincant. Pour lui, comme pour «Aniss», «la lutte contre le Sida commence en dépassant le silence et les tabous». La prévention contre le Sida et la prise en charge psychosociale des personnes atteintes est pour «Aniss» un défi à relever et surtout à réussir. De l'avis des acteurs de cette association, lutter contre le Sida est, avant toutes choses, une information consistante sur la maladie, sur les voies de contamination et surtout sur les comportements et gestes à assurer dans sa vie quotidienne. Ainsi, «Aniss» veut briser la loi de l'omerta en tentant d'extirper cette maladie de la liste des tabous sociaux. C'est pourquoi ladite association, via sa campagne de sensibilisation, vise une population plutôt laissée à l'écart de la couverture sanitaire, de l'information et, par ricochet, du savoir préventif. Ainsi, elle ne se suffit pas de campagne à connotation académique ou scientifique mais va jusqu'à approcher les personnes vulnérables, à l'image des jeunes, des émigrés clandestins et des prostituées. Au-delà de la prévention, l'autre face du combat de cette association est la prise en charge des personnes malades. Le malade est effectivement marginalisé et perçu par la société comme un infirme. Un jugement qui le prive du droit à la vie normale. Pourtant les spécialistes affirment que le malade doit uniquement se conformer à un régime alimentaire adéquat et une hygiène de vie définie pour pouvoir apprivoiser sa maladie et vivre avec sans complication. Dans une conférence de presse qu'il a animée avant-hier à l'occasion de la journée mondiale de la lutte contre le Sida coïncidant avec le premier décembre de chaque année, le président de l'association, M.Skander Abdelkader Soufi a émis le vœux que «les malades vivant avec me VIH/SIDA cessent d'être considérés, trente ans après l'apparition de l'épidémie, comme des cas et non comme des personnes. Ils continuent à travers le monde à être la cible d'attitudes stigmatisantes et de comportements discriminatoires portant atteinte à leur dignité et les privant de leur droit». «Aniss» œuvre actuellement pour la protection des enfants handicapés victimes d'abus sexuels et plus particulièrement ceux qui ont contracté le Sida. Aussi cette même association a mis en place un réseau entre les universités nationales pour mieux cerner la population juvénile exposée grandement à la contamination. Son activité s'inscrit dans le cadre du thème retenu cette année pour la célébration de la journée mondiale de la lutte contre le Sida, à savoir «Accès universel et droits humains». Le chanteur Lotfi Double canon demeure incontestablement un soutien important pour l'association, mais surtout pour les jeunes qui se retrouvent perdus dans un amalgame de modernité et d'ignorance. Lotfi Double canon accompagne l'action de l'association, approche la population avec son langage libertin, direct et convaincant. Pour lui, comme pour «Aniss», «la lutte contre le Sida commence en dépassant le silence et les tabous».