Faut-il rappeler que le Hirak avait déjà clairement rejeté une précédente résolution du Parlement européen ? Pourquoi alors ce revirement ? Il s'est passé que le mouvement cent pour cent algérien, résolument progressiste et patriotique de février 2019, s'est laissé infiltrer par l'opposition radicale, les nostalgiques de «Aliha Nahya» et leurs copains «qui-tu-quistes» parisiens. Vivement que ce qui reste du Hirak retrouve sa vocation première ! Et vivement que Ghediri, Nekkaz et les dizaines de détenus soient libérés pour ne plus servir de fonds de commerce aux printanistes de tous bords. M. F.