Cette fois-ci, ce n'est pas quelqu'un d'autre, mais Saïd Bouteflika lui-même qui charge son frangin de Président. En se défaussant sur lui pour la levée du mandat d'arrêt international contre Chakib Khelil, le dauphin montre qu'il ne peut plus protéger son frère, comme il l'a fait jusque-là, ou qu'il n'a rien à craindre, au contraire, car Abdelaziz restera intouchable ! Troublant ! A. T.