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ALORS QU�ILS ONT R�USSI � �COULER PLUS DE 25 MILLIARDS EN FAUSSES COUPURES DE 1 000 DA La police d�joue une tentative de falsification du billet de 2 000 DA
Au moment o� les �l�ments de la police judiciaire de la wilaya de B�ja�a les avaient surpris dans une villa isol�e � Ifri Ouzellagu�ne, les sept trafiquants et malfrats qui ont �coul� plus de 25 milliards de centimes depuis 2007 sur le march� �taient sur le point de finaliser la simulation d�un billet de 2 000 DA, pourtant d�clar� infalsifiable par les instances financi�res du pays. Il s�agit, selon des sources s�res, d�un groupe de repris de justice sp�cialis�s dans le grand banditisme, notamment les braquages, les attaques � main arm�e, le trafic et le vol de v�hicules ainsi que la falsification de billets de banque, arr�t� en ce d�but de semaine. Ces individus, qui op�raient � partir d�une villa isol�e, situ�e � Ifri Ouzellagu�ne, � B�ja�a, un village frontalier avec la wilaya de Tizi Ouzou, proposaient 100 millions de centimes en fausses coupures en �change de 25 millions de centimes en v�ritables billets de banque. Ils �coulaient sur le march� une moyenne de 30 millions de centimes en faux billets par semaine, en plus des grandes commandes qu�ils pr�paraient occasionnellement pour certains clients, et ce, depuis 2007, date de leur sortie de prison. Gr�ce � un �l�ment originaire de B�ni Douala qui assurait la liaison entre les fournisseurs et les acheteurs, les faux billets de 1 000 DA, atterrissaient aux quatre coins du pays, notamment l�Alg�rois, le Grand-Constantinois et les Hauts-Plateaux, � Tiaret particuli�rement. Ils �coulaient �galement les faux billets dans l�achat de v�hicules, de l��lectrom�nager et l�investissement dans l�immobilier. Mais le fait le plus inqui�tant est que les �l�ments de la police judiciaire de la wilaya de B�ja�a, qui ont agi sur renseignements, aient surpris les sept individus sur le point de finaliser la simulation d�un billet de 2 000 DA, dont la composition est pourtant difficile � imiter, selon les autorit�s financi�res, qui l�ont qualifi� d�infalsifiable � sa sortie. Les �l�ments de la police judiciaire de B�ja�a poursuivaient, en effet, le groupe de malfrats depuis quelque temps d�j� et attendaient le moment propice pour agir, car ces trafiquants, comptaient �couler une importante somme d�argent en fausses coupures dans l�achat de moutons � l�approche de l�A�d. Un important mat�riel informatique, des produits chimiques, ainsi que de faux billets destin�s � l�usage ont �t� saisis sur place.
