Une rencontre technique a regroup� les acteurs du projet Machrek-Maghreb III pour le d�veloppement durable des moyens d�existence des communaut�s agropastorales des r�gions � faible pluviom�trie. Cette r�union de coordination r�gionale � laquelle ont pris part des repr�sentants du Fonds international pour le d�veloppement agricole (Fida), ainsi que des experts de plusieurs pays dont le Liban, l�Irak, la Jordanie, le Maroc, la Tunisie, la Libye et la Syrie, se fixe pour objectif de faire le point sur l��tat d�avancement de ce programme dans chaque pays concern� et d��changer par l� m�me les exp�riences v�cues par les uns et les autres. Il est � noter que le programme en question vise le d�veloppement du syst�me agropastoral productif et durable pour l�am�lioration des moyens d�existence des communaut�s locales. Ceci passe in�vitablement par un plan de gestion optimale des ressources naturelles. Pour ce qui est du cas de l�Alg�rie, le programme s�est bas� sur la mise en place d�une exp�rience pilote dans la commune de Bouiret-Lahdeb dans la wilaya de Djelfa. Il s�agit d�initier un cadre propice pour catalyser les synergies entre les diff�rents intervenants impliqu�s dans le d�veloppement rural. Il est �galement pr�vu d��largir cette op�ration � d�autres r�gions du pays. Au cours des travaux du s�minaire, il a �t� pr�cis� qu�il est attendu de ce programme la r�alisation par la population agropastorale du plan de d�veloppement communautaire. Il s�agit �galement de renforcer le r�seau Machrek- Maghreb en �changeant des informations utiles entre les huit pays concern�s et les organisations r�gionales et mondiales. Pour ce faire, il a �t� pr�cis� qu�il est n�cessaire d�aborder une approche globale et institutionnalis�e. Dans cet ordre d�id�es, des programmes sont propos�s aux d�cideurs et chercheurs pour �tre pris en charge dans une strat�gie de d�veloppement rural de la steppe. A noter enfin que le projet Machrek-Maghreb est � sa troisi�me phase d�ex�cution. Celle en cours a commenc� en 2006 et s�ach�vera en 2008 pour un budget global de 2.5 milliards de dollars. N. M.
