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Chronique
L�gislatives : dernier acte ou la "dawla" des Abdelaziz (de pr�f�rence au pluriel) Par Le�la Aslaoui le�[email protected]
Publié dans Le Soir d'Algérie le 04 - 06 - 2007

Ainsi donc, le perchoir de l�Assembl�e nationale sera occup� par M. Ziari, ancien ministre. Pourquoi lui plut�t que M. Ghrieb (ambassadeur) que l�on donnait comme favori ? se sont demand�s quelques journalistes ou observateurs. Chacun d�eux s�est fendu d�une explication, ou a livr� � l�opinion ses supputations, informations, �manant de �source autoris�e�, ont-ils pr�cis�, donc cr�dible. Sous le titre : �Les raisons d�un choix� le quotidien Libert� croit d�tenir la v�rit� : �C�est Mme Bitat, s�natrice qui a appuy� la candidature du d�put� d�Alger en disant : �Il a tout pour �tre pr�sident de l�APN� ( Libert� sous la plume de la journaliste Nadia Mellal).
Sinc�rement si tel avait �t� le vrai motif de cette d�signation, on se serait dit que visit� miraculeusement � 70 ans par dame sagesse, le premier magistrat du pays non seulement entend d�sormais consulter ses conseillers et amis mais surtout prend en consid�ration leurs avis et jugements. En outre, dans ce cas pr�cis, Mme Zohra Drif-Bitat et son �poux ont �t� en tout temps et toute circonstance des amis fid�les � Abdelaziz Bouteflika. Qu�au nom de cette amiti�, elle ait pu sugg�rer un nom plut�t qu�un autre n�a rien de choquant ou de particuli�rement �tonnant. C�est certainement plus honorable � combien ! que le comportement de celle qui a renonc� � ses convictions de femme �engag�e�, � ses principes, promettant de �ne rien refuser � son pr�sident� ( El Khabar El Ousboui) pour l�obtention d�un si�ge minist�riel �jectable ! Le changement de peau est � ce prix ! Mais enfin, soyons s�rieux ! Depuis quand Abdelaziz Bouteflika consulte-t-il qui que ce soit sur quoi que ce soit, lui qui sait tout sur tout, et qui fait tout, tout seul ? L�unique fois o� je l�ai rencontr� au colloque �Femmes de la M�diterran�e et d�mocratie� � la cl�ture des travaux le 10 mars 2000 � El Aurassi, je me souviens avoir entendu une r�dactrice de l�APS Fatma... se pr�senter comme telle au pr�sident. Et lui de lui r�pondre : �Vous �tes � l�APS mais c�est moi le r�dacteur.� La nomination au perchoir de l�APN de M. Ziari est le choix de M. Bouteflika et de lui seul. Jaloux de ses pr�rogatives, de ses pouvoirs, l�homme n�en conc�de aucun. Les hommes et les femmes qu�il nomme sont ses ex�cutants. Et seulement des ex�cutants. Il a consid�r� que pour une Assembl�e ayant obtenu le score catastrophique de 35,51% (et encore...) l�homme inodore et incolore, qu�est M. Ziari convient parfaitement au perchoir. Et puis il a la chance de se pr�nommer Abdelaziz. Abdelaziz � la pr�sidence, Abdelaziz au gouvernement, Abdelaziz au perchoir. Y a-t-il d�autres Abdelaziz pour la dawla de Abdelaziz �1er� (�Hakim Lallam�) ? L�homme � l��go surdimensionn� qu�est le premier magistrat du pays d�teste les pr�noms de Ali, Ahmed... Il n�aime et ne ch�rit que �Abdelaziz�. Exception tout de m�me � la r�gle : il y a un Abdelaziz qui lui a tenu t�te en d�missionnant, M. Abdelaziz Rahabi. Mais lui, on le sait, ce n�est pas un Abdelaziz comme les autres. Il ne ploie pas la t�te et n�ex�cute pas. Donc c�est un faux Abdelaziz. Pour Bouteflika �videmment ! celui-ci appr�cie l�islamiste, Abdelaziz Belkhadem (Abdelaziz 2 II) et le docile Abdelaziz Ziari (Abdelaziz 3 III). Abdelaziz � vos marques !... Abdelaziz premier peut penser � vous � tout moment. N��teignez pas vos portables et dites � vos �pouses de bien noter les messages lorsque retentit la sonnerie du fixe en votre absence. Vous aurez un strapontin, un v�hicule et un portable. Et puis enfin, en quoi la nomination de Abdelaziz Ziari (Abdelaziz 3) Va-t-elle changer quoi que ce soit ? Je dis nomination, car la meilleure perle que j�ai relev�e a �t� celle-ci : �Ziari sera sera �lu aujourd�hui� ( Libert� 31 mai 2007). S�il s��tait agi d�une �lection on n�aurait pas connu logiquement le r�sultat � l�avance. Plus professionnel El Khabar y met les formes : �Ziari sera le seul candidat pour la pr�sidence de l�APN� (31 mai). En quoi, disais-je, cette nomination va-t-elle changer, l�opinion citoyenne, non seulement sur l�Assembl�e et les missions de d�put�, mais �galement et surtout sur notre quotidien ? Des �lections, celles du 17 mai, ou d�autres � venir, vont-elles par un coup de baguette magique occulter la grave crise que traverse la soci�t� alg�rienne ? Une crise si profonde qu�elle peut � tout moment engendrer l�instabilit� politique et sociale. Et ce n�est pas parce que l�on ne parle pas des probl�mes qu�ils n�existent pas. Peut-on nier aujourd�hui qu�apr�s bient�t 42 ans d�ind�pendance, l�Alg�rie est encore incapable d��crire son Histoire ? Falsifi�e, celle-ci ne cesse d��tre malmen�e pour imposer des objectifs politiques. Combien a-t-il fallu attendre d�ann�es, de d�cennies, pour que la v�rit� sur la mort du chahid Abane Ramdane soit dite ? Et lorsque je dis v�rit� je ne parle �videmment que de la mani�re dont il a �t� assassin� par ceux qui avaient d�cid� d�j� en 1957 que leur pire ennemie �tait l�intelligence et sa s�ur jumelle la capacit� de penser. Pour quelles raisons un fonctionnaire du minist�re de la Justice int�gre, a-t-il connu dans la solitude, les pires avanies y compris l�emprisonnement (M. Mellouk Benyoucef) pour avoir r�v�l� l�existence d�une liste de faux moudjahidine magistrats de leur �tat ? Le colonel Ahmed Bench�rif et le colonel Bougouba disent-ils autre chose que lui, ou moins que lui ? Et le ministre des Moudjahidine a bel et bien �t� oblig� de reconna�tre apr�s les sorties m�diatiques du colonel Bench�rif qu�il existait 10 000 faussaires. Qu�importe le chiffre ! Un seul faussaire est une trahison aux morts, mais �galement � nos g�n�rations post-ind�pendance auxquelles on a enseign� des mensonges. D�horribles mensonges. Oubliant que l�Histoire nous rattrape toujours. Oubliant surtout que les ressentiments refoul�s �clatent toujours un jour ou l�autre. Et alors il serait temps de se demander si l�unification d�une nation se fait avec la confiscation de son pass�. Certainement pas, car � cette premi�re et grave falsification, il existe celle des ann�es infernales du terrorisme islamiste qu�on peut r�sumer en trois mots : Amnistie = Impunit� = Amn�sie. Et au bout du chemin, beaucoup de haine qui resurgira t�t ou tard. Haine et vengeance. Peut-on nier que le r�gionalisme et le n�potisme par l�exclusion de cadres comp�tents et int�gres se sont aggrav�s depuis 1999 ? J�ai eu l�occasion de communiquer dans une de mes pr�c�dentes chroniques la liste des ministres issus de l�Ouest et plus particuli�rement Tlemcen, Nedroma, M�cirda, sans oublier les autres institutions, et je me suis demand�e s�il fallait appeler cela �l�Etat alg�rien�, �l�Empire de Tlemcen� ou �la monarchie de l�Ouest�. Peut-on nier que la bureaucratie, la m�diocrit� et l�arbitraire se sont �rig�s d�sormais en r�gles absolues ? Et l�on n�est pas loin d�un certain 5 Octobre qui avait mis en �vidence la crise des institutions et l�inaptitude du r�gime � g�rer le pays. Un 5 Octobre, il est vrai, vite r�cup�r� par le pouvoir. Mais qui peut affirmer, tant est fragile la construction institutionnelle, qu�il n�y ait pas de ras-le-bol � nouveau ? Cette fois-ci, le peuple a exprim� son rejet et quand bien m�me il multiplierait ses visites ici ou l�, Abdelaziz Bouteflika ne parviendra plus � convaincre son peuple que lui est �populaire� et que le rejet ne concerne que les partis politiques. Ce serait le pire des m�pris et ce serait aggraver le foss� r�el entre gouvernants et gouvern�s. Ce serait surtout ne pas avoir compris que les m�thodes de gouverner � mais Abdelaziz Bouteflika l�a compris � ont plong� les Alg�riens dans un pessimisme qui les am�nent � ne m�me plus s�interroger sur leur avenir. Car les �rat�s� de la croissance et le mal-d�veloppement ne peuvent pas expliquer � eux seuls cette crise. Celle-ci s�appelle aussi g�n�ralisation de la corruption. Et la lutte contre cette gangr�ne jusqu�alors engag�e � timidement d�ailleurs � est plut�t s�lective puisque souvent elle concerne des �lampistes� et seulement eux. Des fortunes colossales ont �t� constitu�es par �d�anciens pauvres� devenus �nouveaux riches�. Elles sont �tal�es d�une mani�re ostentatoire. Et pour l�Alg�rien lambda, la corruption, les privil�ges exorbitants, l�arrogance des �nouveaux riches� g�n�rent de profondes frustrations sociales et des tensions (notamment au niveau des jeunes dont le choix � qui n�en est pas un � est d��tre d�s�uvr�s, toxicomanes ou �harraga�). La crise s�appelle l�effritement des valeurs morales au sein de la soci�t�. Qui n�a pas dit un jour �je n�ai plus de rep�res ?� La solidarit�, la discipline, le civisme, le respect des lois ont c�d� le pas � une anarchie g�n�ralis�e, et pis encore, � une haine sociale, dans la rue, � l��cole, dans son immeuble. On se c�toie, on ne se respecte plus. Les discours populistes, haineux de dirigeants d�clarant que �la graisse des bourgeois devrait fondre au hammam� (en 1962) ont engendr� une soci�t� o� l��litisme, la comp�titivit�, la r�ussite, l�effort sont devenus des tares, la m�diocrit� une valeur. La propret�, l��l�gance, le raffinement des mani�res et du langage des vices, le respect des traditions et des a�n�s (� commencer par ses parents), une aberration. M�chonner du chewing- gum bruyamment, insulter, tutoyer ses a�n�s, trouver un dicton pour chaque circonstance (comme son pr�sident d�ailleurs), gagner de l�argent n�importe comment, voil� d�sormais les �vraies� valeurs de l�Alg�rien. Faites de populisme bien entretenu depuis tant d�ann�es, et de magouilles en tous genres. De quoi parlet- elle ? diront certains. De quelque chose de simple : la d�liquescence des valeurs est encore plus grave que l��chec �conomique. Chez nous, ce n�est pas en tout �tat de cause le d�veloppement �conomique qui a contribu� � un changement des mentalit�s (quelle bonne nouvelle que celleci si elle s��tait r�alis�e), c�est l�intrusion de l�Etat dans tous les secteurs qui a fragilis� la soci�t� aujourd�hui sans rep�res. Sans rep�res y compris l�Islam qui, � force d��tre instrumentalis� par nos dirigeants, a engendr� les monstres islamistes et les �mirs sanguinaires, divisant un peu plus les Alg�riens. Que dire de l��cole, v�ritable et seul projet de soci�t�, dont on se demande encore comment son ministre (M. Benbouzid) est parvenu � fermer les portes de l��cole saoudienne face � un Bouteflika islamiste ? Cette crise s�appelle l�arbitraire institutionnalis� en r�gle depuis 1999. Et lorsque les libert�s individuelles sont bafou�es, il s�ensuit un sentiment d�ins�curit� et une tension permanente chez le citoyen. Un arbitraire o� l�Etat incarn� par le seul Abdelaziz Bouteflika impose autoritairement ses ordonnances, ses hommes et leurs
privil�ges. Cet arbitraire, h�las, a p�n�tr� tous les rouages de l�Etat puisque quiconque dispose d�une once de pouvoir, le planton, le policier au carrefour, la secr�taire du DG ou du Pdg, l�agent de s�curit�, etc.) en use et abuse. Et tout service est monnayable. Alors, sinc�rement, en quoi l�APN, son perchoir vont-ils changer quoi que ce soit lorsqu�on sait que le citoyen atteint dans sa dignit� au quotidien ne croit plus en l�Etat et en ses institutions ? Il l�a exprim� par son abstention massive. Son insoumission ira-telle plus loin ? La maison Alg�rie est bien fragile, d�autant plus fragile que le premier magistrat du pays continue � croire qu�il peut d�cider seul. Il ira de wilaya en wilaya, et apr�s ? Il a nomm� Ziari pr�sident de l�APN, et apr�s ? Il y aura des rumeurs de remaniement minist�riel, et apr�s ? Il y aurait des mauvaises langues qui continueraient, dit la presse gouvernementale, � raconter que le pr�sident est malade, et apr�s ? Sinc�rement, qu�il apparaisse � la t�l�vision ou pas, cela change quoi au quotidien ? Il devrait se rendre � l��tranger, et apr�s ? Et apr�s ? puisque rien ne bouge, et les institutions de l�Etat sont bien fragiles. Qui vivra verra... Elles ne sont pas en bonne sant�, et l�une d�entre elles, la justice, nous le r�v�le fort bien. Apr�s la recommandation du pr�sident du Syndicat de la magistrature par laquelle il a d�clar� (Cha�ne I) : �Il faut plus de courage aux juges� (vaste programme que celui-ci), c�est au tour du b�tonnier du barreau d�Alger, en accord avec les autres barreaux d�Alg�rie, d�annoncer une gr�ve pour le 10 juin. Une gr�ve nationale pour protester contre l�entrave aux droits de la d�fense. Si un magistrat demande � ses pairs d��tre courageux et qu�un avocat annonce une gr�ve nationale de la d�fense, cela signifie que Dame Justice se porte mal, tr�s mal. Ce n�est pas une nouvelle in�dite. Nous le savions. Le probl�me est ailleurs. Abdelaziz Bouteflika a-t-il besoin de juges courageux ? Certainement pas. A-t-il besoin d�une d�fense forte ? Encore moins. L� o� pourrait exister un contre-pouvoir il le neutralise ou le d�truit s�il lui tient t�te. L�Etat de Abdelaziz Bouteflika est illustr� par cet autre exemple : interrog� par M�di I sur les revendications des praticiens de la sant� publique et ce qu�il en pense, Amar Tou, ministre de la Sant�, qui a un jour frapp� une journaliste � Oran trop curieuse � son go�t, r�pond sans m�me se contr�ler : �Nous allons saisir la justice.� No comment ! Au fond, le vrai probl�me aujourd�hui est de savoir qui pourra redresser la barre apr�s Abdelaziz Bouteflika et qui pourra cr�er le d�clic mobilisateur, totalement enterr� dans la dawla des trois Abdelaziz. Je n�ai pas de r�ponse � cette question. Je sais seulement que la situation est gravissime !


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