Aujourd�hui s�ouvre le premier Salon international de la pharmacie et de la parapharmacie (Siphal 2008) au Palais des expositions. Pr�s de 50 exposants y participent, selon les organisateurs de cette manifestation, dont une quinzaine d��trangers. Meriem Ouyahia - Alger (Le Soir) - Il s�agit, selon Yacine Louber, directeur du salon, d�op�rateurs et entit�s pharmaceutiques et parapharmaceutiques nationaux et internationaux, dont des laboratoires publics et priv�s, de distributeurs et de tous les secteurs d'activit�s en rapport avec la profession. Le but de cette premi�re �dition est de permettre aux professionnels du secteur notamment les pharmaciens et les m�decins ainsi qu'� tous les intervenants dans le domaine pharmaceutique et parapharmaceutique d'�changer des informations et d'�tablir des liens professionnels. Il vise �galement � cr�er un d�bat sur les perspectives de d�veloppement de cette activit�, �un des principaux segments�, a-t-il estim�, de la politique de sant� en Alg�rie dans le souci de contribuer � l'��mergence� d'un d�bat national sur la politique de sant� publique dans le pays. En marge du salon, des conf�rences et d�bats ax�s autour de la �contrefa�on des m�dicaments en Alg�rie�, du �sommeil et ses troubles�, de �la flore intestinale�, ainsi que des techniques de vente, sont programm�s. S�agissant du premier sujet, qui devra �tre pr�sent� par le Pr. Rachid DENINE, Professeur � la facult� d�Alger, il sera d�battu mercredi apr�s-midi. La contrefa�on est en fait un des maux de l��conomie nationale. Aucune statistique fiable n�a �t� jusqu�� maintenant �tablie. �Il est tr�s difficile de d�tecter un m�dicament contrefait. Seul les laboratoires de contr�le peuvent le faire� a encore relev� Yacine Louber, pharmacien de profession. Sans avancer de chiffres pr�cis sur le d�veloppement de ce secteur, Yacine Louber dira qu�en dix ans, ce secteur a connu un d�veloppement important. N�anmoins, il dira que l�enregistrement des m�dicaments est une longue proc�dure qui peut durer jusqu�� pr�s de quatre ann�es. M. O.
