Nous avons déjà signalé dans nos précédentes éditions, qu'il y aura au total 25 disciplines retenues pour les prochains Jeux Africains de la jeunesse que la capitale d'Alger accueille du 19 au 28 juillet 2018, un chiffre non négligeable annoncé par l'Association des comités nationaux d'Afrique (ACNOA). Il s'agit de l'athlétisme, du canoë, du handball, du rugby, du taekwondo, du badminton, du cyclisme, de l'équitation, du tennis, du tennis de table, du voile, du basket-ball (3×3), de l'escrime, du judo, du tir, du volley-ball, du Beach volley, de la gymnastique, du karaté, de la natation, de l'haltérophilie, de la boxe, du football, de l'aviron et de la lutte. Des regroupements durant les vacances, est-ce suffisant ? Pour ce faire et selon des responsables de fédérations, ces stages et durant ces vacances, sont loin d'être suffisants. Il est vrai que pour prétendre remporter cette troisième édition, nos éléments devraient être mis continuellement dans les meilleures conditions. Ce qui est loin d'être le cas pour les adversaires de nos capés, qui y ont beaucoup réfléchi. Des camps d'entraînement ont été créés afin de permettre à leurs athlètes de bénéficier d'un maximum d'atouts, dont le transport, le matériel, l'infrastructure et la récupération. L'équipe nationale de handball et selon des informations sûres, ne connaît pas encore ses destinées en prévision des prochains Jeux de la jeunesse, elle n'a du moins jusqu'à présent point encore pris le chemin du grand chantier. L'athlétisme se perd avec les compétitions à l'étranger pour certains et les regroupements en prévision des jeux de la jeunesse d'Alger pour d'autres. Quelques disciplines comme l'escrime, le judo ou encore la boxe le cyclisme et le volley-ball, peaufinent leur préparation avec les moyens de bord, sans trop demander pour les autres pratiques. Cependant, des carences qui semblent exister que chez nous au moment où nos adversaires peaufinent leur dernière ligne droite. L'équipe nationale de handball et selon des informations crédibles, ne connaît pas encore son tracé pour les prochains Jeux de la jeunesse, elle n'a du moins jusqu'à présent point encore pris le chemin du grand chantier. L'athlétisme se perd avec les compétitions à l'étranger et les regroupements en prévision des jeux de la jeunesse d'Alger. Quelques disciplines comme l'escrime, le judo ou encore la boxe et le volley-ball, peaufinent leur préparation avec les moyens de bord, sans trop demander pour les autres. La natation arrête son stage Pour la natation, ce n'est guère la vie en rose puisque lors du stage tenu à Souidania, des problèmes ont surgi et ont été exprimés par l'entraîneur de l'équipe nationale de natation des moins de 18 ans (U-18) Ali Maânseri lequel regrette les perturbations enregistrées dans la préparation en vue des Jeux africains de la jeunesse JAJ-2018 d'Alger (19-28 juillet). Celui-ci affirme que le camp d'entraînement qui s'est déroulé au Centre de regroupement des équipes nationales de Souidania a été voué à l'échec suite à son interruption. La jeune équipe nationale a été contrainte d'interrompre son regroupement en raison de l'arrivée des délégations étrangères devant prendre part au 3e championnat méditerranéen de lutte (cadets) qui se déroule à la Coupole. Comment peut-on parler de résultats alors que rien n'est encore mis en place. Plus tard ce sont les fédérations, leurs coachs et leurs athlètes qui seront pointés du doigt. L'haltérophilie, le cyclisme, la satisfaction Pour le cyclisme tout semble baigner, il continue son petit bonhomme de chemin avec des stages ponctués de compétitions à l'image des derniers championnats arabe sur route et d'Afrique sur piste puis du tour d'Algérie qui se tient en ce moment. Est-ce la satisfaction pour l'haltérophilie, c'est l'affirmation puisque des athlètes se sont exprimés récemment, assurant leur tickets pour les prochains Jeux Olympiques de la jeunesse (JOJ), prévus en octobre prochain Buenos-Aires (Argentine). L'haltérophilie algérienne sera donc présente avec deux athlètes aux prochains Jeux Olympiques de la jeunesse (JOJ), prévus à Buenos Aires en Argentine du 06 au 18 octobre 2018, grâce à sa deuxième place au classement du championnat d`Afrique d'haltérophilie (cadets/juniors, garçons et filles) qui ont pris fin, jeudi en soirée au Caire, après cinq jours de compétition, en présence d'une centaine d'athlètes représentant une dizaine de pays. Chez les cadets, l'Algérie a clôturé sa participation en seconde position, récoltant 547 points, derrière l'Egypte (661 points) et devant la Libye (539 points). Chacun des ces trois pays seront présents à Buenos Aires avec un athlète, alors qu'en cadette, l'Algérie a récolté 556 points, devancée par l'Egypte (654 pts) et devançant la Tunisie (512 pts). Avec ces résultats, la fédération algérienne d'haltérophilie (FAH) a réédité la performance des derniers JOJ joués à Nanjing en Chine en 2014 où elle a avait été représentée par Aymen Touairi et Meriem Benmiloud. Pour certains techniciens, «il ne reste plus beaucoup de temps de préparation pour espérer s'illustrer lors de ces joutes. Une seule et dernière alternative qui reste, celle de mettre tous les athlètes algériens dans des conditions régulières et favorables comme cela se faisait dans les années phares du sport, où l'Algérie jouait les premiers rôles sur le plan continental».