Le président Erdogan est dénoncé par le peuple turc, avec les limogeages engagés après le coup d'Etat raté de 2016, disent les politiciens. Le président turc n'accepte pas la défaite aux élections municipales. Le président Erdogan est dénoncé par le peuple turc, avec les limogeages engagés après le coup d'Etat raté de 2016, disent les politiciens. La preuve est la défaite enregistrée avec les élections municipales, mais l'AKP refuse d'accepter qu'Erdogan n'est pas apprécié, avec les limogeages engagés après le coup d'Etat raté. Par milliers, les fonctionnaires, policiers, et militaires ont été limogés, accusés d'implication dans le coup d'Etat raté. L'AKP a déposé son recours, par le vice-président de l'AKP, Ali Ihsan Yavuz, en remettant au Conseil électoral supérieur (YSK) trois valises peines de documents, ajoute CNN Türk. Si ce recours est accepté, de nouvelles élections auront lieu à Istanbul, le 2 juin. Dans le cas contraire, les résultats du premier scrutin seront définitivement validés. Le candidat d'opposition du Parti républicain du peuple (CHP), Ekrem Imamoglu, est arrivé en tête à Istanbul, alors que l'AKP et avant lui le Parti du bien-être, également issu de l'islam politique, ont contrôlé la ville pendant vingt-cinq ans. Lors d'une conférence de presse la semaine dernière, le président Erdogan a jugé que l'avance du CHP à Istanbul était trop étroite pour que le parti d'opposition puisse se prétendre vainqueur. Selon lui, les élections à Istanbul ont été manipulées par le «crime organisé». Le président turc, Erdogan, est dénoncé pour la politique hostile au gouvernement légitime de Damas. Erdogan est accusé de soutenir les terroristes de Djabhate El Nosra. Le président Poutine a pu convaincre Erdogan de coopérer pour le dialogue engageant le gouvernement de Damas et l'opposition. C'est alors que la Russie, la Turquie et l'Iran ont organisé le dialogue, écartant Washington, dont le but n'est pas très convainquant. Damas, Moscou et Téhéran, luttent contre les terroristes de Daech.