Réagissant à un article le concernant paru dans notre édition du dimanche 8 août 2010, en page 10, le président de l'APC de Guelma a tenu à apporter des clarifications. Rachid Allami précise qu'il exerce toujours sa fonction «de manière habituelle et quotidienne», démentant ainsi l'information selon laquelle il aurait été arrêté pour corruption. Le président de l'APC juge les propos tenus par notre journaliste diffamatoires, estimant qu'ils portent atteinte à sa respectabilité. M. Allami indique, enfin, que la responsabilité du contenu de l'article incombe à notre journal du fait qu'il a publié, selon lui, un article dénué de tout fondement. Dont acte.