Le premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), Youcef Aouchiche, s'est exprimé dans une sortie médiatique sur les questions brûlantes qui caractérisent la scène politique nationale. Dans ce sens, il a été sujet de répondre à la question en rapport avec la crise diplomatique entre la France et l'Algérie et d'autres questions inhérentes à l'initiative présidentielle qui a trait au dialogue national et les consultations politiques qui se déroulent actuellement entre la Présidence et la classe politique dans son ensemble. Le responsable du FFS a réagi à la trêve qui a été décidée à Ghaza en soulignant : «Nous espérons que le drame palestinien causé par l'entité sioniste puisse cesser et que nos frères et nos sœurs en Palestine pourraient retrouver la vie ordinaire et vivre dans la dignité», a-t-il déclaré. Dans le même sillage, le premier secrétaire national du FFS a appelé à «continuer la lutte aux côté du peuple palestinien jusqu'à atteindre l'objectif escompté, à savoir juger les criminels sionistes devant la justice internationale et la création de l'Etat palestinien libre et souverain». Sur un autre registre, le premier secrétaire national du FFS est revenu à sa participation à la dernière élection présidentielle anticipée en déclarant que «nous avons fait un bilan approfondi au sein du FFS sur notre participation à la dernière élection présidentielle anticipée. L'évaluation a été dans l'ensemble positive. La participation a apporté beaucoup de choses positives pour le parti et pour la patrie en général», a-t-il dit. Youcef Aouchiche a expliqué que ladite participation était une démarche visant à défendre et sauvegarder la souveraineté nationale et l'unité du pays. Il a ajouté dans ce sens que le FFS a participé pour pouvoir «apporter un nouveau souffle à la pratique politique à travers sa réhabilitation et la consécration de la concurrence loyale dans le cadre d'un pluralisme politique le moins que l'on puisse dire noble». Aouchiche a affirmé que «le bilan que nous avons fait fait ressortir que la plupart des actions et initiatives prises dans le cadre de notre participation à l'élection présidentielle anticipée ont atteint l'objectif escompté par la direction du parti». Le FFS, à travers son premier secrétaire national, a expliqué que le pays a besoin d'une véritable réhabilitation de la pratique politique en indiquant qu'«il faut dire que depuis deux décennies la confiance a été rompue entre les gouvernants et les gouvernants. Il y a eu pour ainsi dire une véritable érosion politique». Youcef Aouchiche a plaidé pour une «institution législative plus représentative pour qu'elle puisse assurer son rôle et sa mission d'une manière concrète». Et d'ajouter : «Cela ne peut se faire qu'à travers une participation massive dans les joutes électorales.» Le premier responsable du FFS a abordé la question en rapport avec l'initiative du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à savoir le dialogue national. À ce propos, il a déclaré que «les principes du FFS sont fondés essentiellement sur la vertu du dialogue». Dans le même registre, Youcef Aouchiche a précisé que son parti «était le premier à lancer un dialogue avec les partis représentatifs au sein de la société. Nous croyons profondément au dialogue comme levier et instrument civilisationnel afin de résoudre les crises et de faciliter le processus du changement intrinsèque et pacifique». Aouchiche a expliqué que la nécessité du dialogue s'est imposée comme seule et unique issue à même de permettre au pays de faire face aux défis et aux menaces extérieures qui se dressent au pays actuellement. Il a souligné à ce propos qu'«il faut qu'il y ait un dialogue sérieux pour pouvoir asseoir un véritable consensus national sur les questions essentielles qui concernent l'Etat national».