De scandale en scandale, le royaume du Makhzen vit probablement ses derniers moments, au grand bonheur du peuple marocain opprimé, violenté, réprimé et séquestré par un système corrompu et profondément perverti. Cette fois-ci, c'est à partir de l'Espagne que nous viennent les nouvelles acculant le royaume de Mohammed VI, à travers un nouvel imbroglio politico-barbouzien sensationnel. Le numéro 2 du renseignement et de l'espionnage marocains vient de faire fau bond à sa majesté et à ses compères, en prenant la poudre d'escampette vers l'Espagne, Mehdi Hdjaoui, en l'occurrence qui s'est enfui en France avant de s'établir en Espagne, sur la base des recommandations de ses soutiens, estimant que le régime de Macron n'aurait aucune hésitation à le livrer à ses complices et amis du Makhzen. D'ailleurs, selon les révélations du journal espagnol El Confidencial Inacio, qui a fait fuiter l'information, Hidjaoui, considéré comme la boîte noire de l'appareil d'espionnage et de renseignement du Makhazen, pourrait se livrer à bien des révélations, tant au sujet des luttes intestines, désormais secret de Polichinelle au Maroc, qu'au sujet des pratiques du royaume à l'extérieur, comme ce fut le cas pour l'affaire « Pegasus ». Celle-ci n'a pas encore fini de nous surprendre, tant il est vrai que les soubresauts et les motivations d'une telle machination devraient éclairer l'opinion publique mondiale sur la véritable nature de cette monarchie nauséabonde. Selon le journal espagnol, les services espagnols, qui avaient affirmé à leurs homologues du Makhzen ignorer l'emplacement de leur protégé, auraient demandé au Marocain fugitif de se rendre volontairement aux autorités de son pays. Chose que Hidjaoui a, bien entendu, refusé catégoriquement, étant donné qu'il connaît les suites qui lui seront réservées, le cas échéant. Toutefois, ce personnage représente un précieux gage des différents services de renseignements qui voudraient le récupérer, en vue de son exploitation concernant le backgroud marocain, en ces moments précis. En effet, selon des échos concordants parvenus du royaume de Mohammed VI, les luttes intestines pour la succession du monarque, malade, ont atteint leur paroxysme. Tandis que les absences du roi demeurent persistantes et énigmatiques, l'entourage du palace royal reste livré à une guerre de tranchées opposant deux clans, au moins, s'affrontant ouvertement autour de la succession de sa majesté. Une confrontation qui a gangrené l'ensemble des institutions du pays et les rouages du royaume devenu la risée du monde. En plus des membres de la famille royale, qui se retranchent derrière des luttes sournoises et autres, ouvertes, dont Lalla Meryem, sœur aînée du roi Mohammed VI, qui mène les rènes une main de fer, forte de liens étroits avec une famille israélo-britannique édifiant un empire économique sans précédent, d'autres parties se joignent au carnage ambiant. « Inhabituellement », le roi marocain en séjour de détente aux Emirats arabes unis, quoi de plus normal, étant donné qu'à Tel Aviv, il y a risque que les Yéménites ou les djounoud de Hizbollah gâchent sa quiétude et sa sérénité, ne donne pas signe de vie. Pour le moment, le jeune pantin du royaume, Moulay Hassan, prince héritier et fils du roi M6, est présenté comme étant le successeur unique au trône de son père, mais cela ne dépend pas uniquement de la volonté de Lalla Meryem. Pour ce qui est du fameux espion en vadrouille, il faudra s'attendre à des scénarios loufoques dans les semaines à venir, voire des prochains jours.