Chaque jour, les usagers de la poste de Bordj El-Bahri vivent le calvaire. C'est par centaines que les citoyens attendent à l'intérieur et dehors pour pouvoir encaisser leurs chèques. Et pour cause, les deux guichets ne suffisent plus pour répondre aux besoins d'une population en constante augmentation. Mais le pire c'est quand les ordinateurs s'arrêtent. Ce qui arrive assez souvent dans cette poste complètement dépassée. Datant de l'époque coloniale, où le village de Bordj El-Bahri (cap Matifou) ne comptait que quelques dizaines d'habitants, cette poste a aujourd'hui besoin d'une extension pour pouvoir répondre aux besoins de la population qui a connu une véritable explosion.