Lauréat d'un concours en 1969, j'ai rejoint le corps de l'Education nationale à l'académie d'Alger à l'époque où l'éducation était dirigée par les professionnels de l'éthique. Les lois de l'Etat ont été détournées au profit de personnes n'ayant pas le sens moral ni qualification, et à titre d'exemple, les articles 01/11/12/13/14/17/18/03/24 et finalement 25 du décret exécutif 49/90 et la décision ministérielle 778 du 26/10/1991, ainsi l'article 340 du cc. Début 2004, mes échelons ont été annulés, j'ai été rétrogradé au rang 11, classe 3 et degré 2, tout le reste a été annulé, avec mes qualifications universitaires en appliquant leur diktat. Même mes salaires ont été diminués. Le directeur de l'école des Frères-Merbah de Birkhadem, l'inspecteur de la région de Birkhadem et l'ex-directeur des fonctionnaires de l'éducation nationale Alger-Ouest ont approuvé un faux document qui a bloqué mon dossier de retraite. Fin octobre 2007, j'ai été mis en retraite et mon salaire a été systématiquement arrêté, ainsi que mes allocations familiales. Ma retraite a été limitée à sept années de travail au lieu de 38 ans de service. Contrairement au décret ministériel 22/09/1987 relatif à la retraite et à la loi 60 du décret 82/302 concernant les dispositions législatives et la loi 83/12 modifiée et complétée par l' article 10, alinéa 3, et malgré mes différents recours pour récupérer mes droits et salaires détournés ainsi que mes allocations familiales, les services concernés refusent toujours de me rétablir dans mes droits et mes redevances antérieures. Le directeur de l'éducation m'a traduit devant des syndicalistes et m'a mis en retraite au lieu de me passer en conseil de discipline, ayant eu pitié de moi ! Je demande à M. le directeur de l'éducation de me clarifier et de m'expliquer ces menaces non justifiées. Et pour une solution juste et adéquate à cette affaire, je vous prie, Messieurs le chef du gouvernement et ministres de l'Intérieur, de la Justice et du Travail, d'ordonner pour qu'on puisse charger une commission juridique spéciale qui tranchera dans cette situation tragique M. Toutaou Saïd Cité 450-Logts, Bt 31, n°6, Birkhadem