EL-TARF : Les accidents de la circulation ont fait moins de victimes en 2010 Au cours de l'année 2009, les services de gendarmerie de la circulation routière ont procédé au retrait de 3 000 permis de conduire. L'année 2010 a connu, selon une source au fait du dossier, une régression estimée à la moitié, soit 1 549 seulement. Sur un autre registre, il a été signalé en 2010 pas moins de 315 accidents faisant 35 morts et 527 blessés, alors qu'en 2009, le nombre d'accidents enregistré était de 456 ayant fait 50 victimes, soit une régression notable par rapport à 2010, grâce à la volonté des agents de la circulation routière qui sont présents sur tout le tronçon pour pouvoir orienter et sensibiliser les automobilistes. Les infractions commises sur les axes routiers sont souvent l'excès de vitesse et les dépassements dangereux. La vétusté des infrastructures de base est une autre cause de ces nombreux accidents de la circulation routière. En tout état de cause, la wilaya se caractérise dans son ensemble par des voies dégradées. Pour ce premier trimestre dont le bilan sera établi au début du mois d'avril, peu d'accidents ont été signalés ayant fait au moins une dizaine de morts et plus de 50 blessés. Tahar B. tadjenanet (mila) un escroc sous les verrous Un ressortissant malien, L. B., 27 ans, a été appréhendé, ce jeudi à Tadjenanet, au sud de Mila, par les services de police. Il est accusé d'escroquerie, de faux et usage de faux. Selon notre source, le mis en cause, est un escroc doublé d'un faussaire. Il abusait, en effet, des commerçants en utilisant de la fausse monnaie. De fausses coupures de 1 000 DA ont été retrouvées en sa possession au moment de son interpellation, ainsi que des équipements destinés à la falsification de billets de banque, précise-t-on de même source. Le malfrat a été présenté, le même jour devant la juridiction territorialement compétente et écroué. K. Bouabdellah Aïn Beïda (Oum El-Bouaghi) : Le chef des patriotes Zaïmi Achour n'est plus Moudjahid de la première heure, ayant rejoint le maquis lors du déclenchement de la Révolution, Zaïmi Achour est décédé suite à une maladie à l'âge de 82 ans. Il a été accompagné à sa dernière demeure par une foule immense d'amis, de proches, de compagnons d'armes, de citoyens et de responsables locaux. Zaïmi Achour avait rejoint très tôt les rangs de l'ALN dans la Wilaya I des Aurès, dans laquelle il fut désigné chef de la zone d'Aïn Beïda, jusqu'a l'Indépendance. Il poursuivra son patriotisme après l'indépendance, puisqu'il occupa le poste de secrétaire de kasma FLN à AIn BeIda et chef de groupe des Patriotes de la même ville jusqu'à sa disparition. K. Messaad