Le groupe Kadri Luminaire détient un savoir-faire affirmé dans le domaine, ce qui lui a permis de devenir une référence du paysage du luminaire, non seulement en Algérie, mais également dans le pourtour méditerranéen et le continent africain. Soucieux de faire évoluer sa gamme de produits et de commercialiser des articles de qualité, le groupe a investi grâce à sa longue expérience industrielle dans le domaine du luminaire urbain, occupant ainsi, grâce à son dynamisme et son talent, une position de leader dans ce domaine. D'un petit atelier familial, remontant à plus d'un demi-siècle, il donne l'exemple par sa continuité, sa progression en devenant un groupe solide aux projets très ambitieux. Sa force réside dans les moyens lesquels sont ainsi constitués : - Une fonderie des matériaux - Une verrerie semi-automatique et artistique - Un département plastique dernière génération - Un département traitement des surfaces - Un laboratoire de contrôle et de recherche - Un personnel qualifié et expérimenté Moderniser et augmenter ses capacités de production constitue, pour le groupe Kadri, un des axes prioritaires dans la perspective de pénétrer de nouveaux marchés étrangers. Ainsi, par sa conception de l'éclairage et ses méthodes de travail, le groupe fait de l'éclairage public un outil permettant de : - Se repérer dans la cité : l'éclairage public permet d'identifier les lieux et de s'approprier l'environnement - vivre en sécurité : un éclairage public efficace diminue les risques d'agression et les accidents - intégrer la vie sociale : en fédérant les différents quartiers et en permettant aux municipalités de maîtriser les lieux sociaux de la vie nocturne - renforcer l'identité de la commune : l'éclairage public contribue à façonner l'image de marque et la personnalité de la commune - préserver l'environnement : l'engagement citoyen de Kadri Luminaire se matérialise par la maîtrise et l'économie d'énergie. Des besoins grandissants et des investissements en vue “Pour notre développement, nous avons besoin de 50 000 m2 en zone industrielle. Malheureusement à Blida, ceci est impossible à trouver et à quel prix”, nous dit Halim en annonçant qu'“actuellement nous sommes en contact et en pourparlers avec plusieurs firmes étrangères dans le domaine de l'énergie et l'éclairage”. “Si nous voulons développer l'industrie et la PME-PMI, l'état doit libérer les énergies et asseoir une véritable politique de facilitation et d'engagements à long terme”, suggère-t-il. Pour les gros projets de fabrication des produits de sous-traitance pour la PME-PMI, “l'état doit, dit-il, investir en association avec le privé pour quelques années afin de poser les bases d'une véritable industrie. En Chine, en Corée du Sud, en Turquie et dans de nombreux pays émergents, cette pratique est courante. Pourquoi pas chez nous ?”. Vu ses expériences grâce à ses voyages d'affaires dans le monde et sa connaissance des réalités du terrain, il propose pour la PME PMI une levée totale de tous les verrous qui bloquent actuellement les initiatives. On devrait mettre, à la disposition des promoteurs, des hangars déjà construits avec les commodités (eau, électricité, gaz, téléphone, etc.), les voies d'accès et les espaces aménagés en contrepartie de loyers annuels modiques, à travers toutes les wilayas. Ceci facilitera les investissements et permettra de créer rapidement des postes d'emploi et de la richesse. L'état, par cette action, investit dans la création de nouvelles zones d'activités ou zones industrielles en contrepartie d'un loyer. La même opération peut-être réalisée pour la création de zones d'activités commerciales (ZAC). Des propositions concrètes “On propose la création d'une méga-zone industrielle dans les hauts plateaux avec accès au foncier au dinar symbolique, bien sûr avec un cahier des charges balisant et réglementant les concessions”, avance-t-il avec assurance. Voilà pourquoi grâce à sa longue histoire, sa position de leader de l'éclairage et ses références internationales, la diversité de ses gammes de produits, ses capacités de production, créatrices d'emploi et de richesse, son expérience de management, ses ambitions, le groupe Kadri Luminaire entend poursuivre cet élan en vue de plus grands progrès, de conquête, pour apporter son concours au développement économique et social du pays qui célèbre son quarantième anniversaire sous son éclairage, justement en pleine guerre de libération. Le combat doublement patriotique du père fondateur n'est pas vain. Il voyait sans doute loin. Tout un symbole ! L'exemple de management du groupe Kadri pour le développement de la production nationale fait décidément école. Le chemin du développement et de l'émergence de l'industrie algérienne et, partant, de l'économie passe nécessairement par la prolifération et l'encouragement de tels cas. Toutefois, d'autres problèmes sérieux qui freinent l'élan sont rencontrés, notamment la contrefaçon. “Nos modèles les plus vendus, laborieusement conçus, ont été contrefaits par quelques soi-disant fabricants, mais nous ne resterons pas les bras croisés, nous riposterons le moment venu”, nous dit M. Halim, exaspéré par cette nouvelle intrusion illégale dans ce segment d'activité. De même, les problèmes bureaucratiques et d'autres de procédure et d'adaptation de nos systèmes financiers empêchent le groupe d'aller rapidement vers la conquête de marchés extérieurs. “Depuis quelques années déjà, nous voulons nous essayer à l'export sans succès. Les causes principales sont la bureaucratie et nos prix qui ne sont pas compétitifs. A titre d'exemple, nous fabriquons des cuisinières en aluminium, matière qui est cotée en Bourse. Comment voulez-vous qu'on achète ce métal en utilisant le Credoc”, dit-il, ajoutant que “certaines matières que nous utilisons et qui sont cotées en Bourse doivent être payées à l'avance pour bloquer les prix de vente. Ceci est impossible à sortir de l'Algérie, à moins d'avoir quelque dérogation de la Banque d'Algérie (chose impossible), et c'est pour cette raison que le produit algérien reste cher sur les marchés internationaux, car nous devons toujours passer par des intermédiaires pour l'achat des matières premières”, relève le patron du groupe. Les produits Le groupe développe une large gamme de produits de qualité, aussi large que diversifiée, comprenant notamment : L'éclairage public, avec un système d'éclairage contemporain, un éclairage de style, un éclairage spécifique Le mobilier urbain avec des bancs publics, des bornes, des pieds de luminaire Les appliques murales dont les consoles en fonte et en acier Les luminaires domestiques également avec l'éclairage contemporain, l'éclairage de style et l'éclairage spécifique L'éclairage industriel. Ressources humaines Le groupe emploie aujourd'hui près de 400 personnes. Il est animé par de jeunes cadres dynamiques. Une main-d'œuvre qualifiée. Grande expérience acquise au fil des projets réalisés. Organigramme l Outre la direction du groupe, ce dernier comprend comprend six filiales dont · GLA avec : Une verrerie semi-automatique et artistique avec : Un département traitement de surface Un laboratoire de contrôle et de recherche Un département plastique dernière génération. · Dynamic Fountain pour la conception, la fabrication et l'installation de fontaine publique. · Illuminotechnique Algérie pour la décoration et les guirlandes extérieures. · Wood Play pour les équipements extérieurs et intérieurs des collectivités, les jeux, le mobilier urbain Staff technique Il est essentiellement composé des membres de la famille, dont le père Halim et son fils. Le groupe encourage et fait confiance aux cadres diplômés et expérimentés en leur assurant grade et promotion dans la gestion des filiales du groupe qui s'enrichit d'une nouvelle filiale, la pépinière et les espaces verts.