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Visite impromptue du président français à Bangui
François Hollande confirme la menace de partition de la Centrafrique
Publié dans Liberté le 02 - 03 - 2014

Il faut éviter qu'il y ait la moindre tentation de partition à l'est de la Centrafrique, a déclaré le président français lors de sa visite impromptue dans la capitale centrafricaine juste après son séjour au Nigeria sous le signe du business. François Hollande s'adressait aux militaires de l'opération Sangaris qu'il a engagée début décembre 2013 et dont les effectifs ont été portés à 2 000 hommes. Le président français qui s'est décrété "gendarme de l'Afrique" à la satisfaction de son homologue américain enchanté de voir la France faire le job pour l'Occident, est intervenu pour éviter à l'ancienne colonie française de basculer dans le chaos. Auparavant, début 20013, ce fut son opération Serval toujours à l'œuvre dans le nord-Mali pour chasser les djihadistes. La chance ne lui a pas souri en Centrafrique où les violences attisées par la présence française ont provoqué une crise humanitaire sans précédent avec des centaines de milliers de déplacés et l'exode de dizaines de milliers de civils musulmans terrorisés vers le Cameroun et le Tchad. L'ONU parle de génocides passibles de la CPI (Cour pénale internationale). Des groupes d'ex-rebelles Séléka se sont repliés vers les confins orientaux de la Centrafrique, tandis que les milices chrétiennes tiennent la capitale et le centre, faisant craindre une partition de facto du pays. Le président français est très remonté contre les retards pour la mise en place d'une mission de casques bleus onusiens en remplacement de la force panafricaine (Misca) inefficace notamment pour absence de moyens et de logistiques, ainsi que contre l'Union européenne qui traîne également des pieds pour dépêcher à Bangui le millier d'hommes promis et libérer ses promesses financières devant permettre à la France de souffler et à François Hollande d'éviter le retour de boomerang quant à la popularité de sa seconde intervention en Afrique. Comme il n'a plus grand-chose à offrir, il s'est contenté de rendre hommage à ses soldats, leur rappelant la mission dont il les a chargés : le rétablissement de l'ordre public pour "achever la transition politique"! Le pays va à vau-l'eau, les institutions ont disparu, la présidence et le Parlement transitoires n'étant que des ombres d'eux-mêmes. Pas d'armée ni de polices hormis les forces de Sangaris et les quelque 4 000 soldats de la Misca sous-équipés. La guerre interethnique fait rage. Face à ce tableau apocalyptique, la France promet des élections en principe au plus tard en février 2015 ! Mais ne faudrait pas auparavant instaurer un pouvoir faute d'Etat ? "Il faut un Etat", a clamé le président français à Bangui, se rappelant que pour cela il faut commencer par payer les fonctionnaires.
D. B.
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