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Premier institut de formation certifié au Maghreb
L'Insim se met en réseau
Publié dans Liberté le 02 - 07 - 2014

Des centaines d'entreprises ont été créées par les diplômés de l'établissement.
L'Institut international de management (Insim) a été créé en 1994. L'Insim, c'est onze écoles réparties à travers tout le territoire national. L'institut propose des formations en local, mais également des formations en partenariat couronnées par des diplômes étrangers homologués. Ces écoles dispensent des formations de BTS (brevet de technicien supérieur) agréées par l'état dans les disciplines des sciences de gestion, de l'économie, de l'informatique, de la restauration et du tourisme. L'Insim a été le premier institut de formation certifié ISO au Maghreb. Et de par sa taille, il est de loin le plus grand institut privé d'Algérie, souligne son P-DG, Abdelhak Lamiri. Chaque filiale dispose également d'un département de conseil et de formation continue. L'Insim dispose aussi d'une filiale HIMI (Higher international management institute) qui dispense des formations supérieures (masters et bachelors). Il le fait avec des partenaires internationaux comme l'université du Québec à Montréal et l'école supérieure de gestion de Paris.
Cette filiale, il fallait la créer, car la réglementation du ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels ne permet pas à des instituts agréés, dispensant des formation de BTS, d'opérer dans les formations supérieures, notamment étrangères. L'Insim dispense des formations professionnelles et HIMI des formations étrangères dans les domaines des sciences de gestion, de l'informatique et des sciences économiques. Toutes les spécialités sont couvertes : finance, marketing, ressources humaines, stratégie, systèmes d'information, intelligence économique, etc. Abdelhak Lamiri affirme que l'institut qu'il dirige est bâti sur la philosophie de la qualité et que les procédures et les mécanismes sont orientés vers les besoins clients et surtout la qualité des prestations de services.
Et, fait pas tout à fait ordinaire : les étudiants notent les enseignants sur leurs prestations de communication, et des séances de concertation continue sont organisées en vue d'améliorer sans cesse nos produits, explique, entre autres, le P-DG de l'Insim. Les diplômes délivrés par l'Insim sont agréés par l'état. Ceux délivrés par HIMI sont homologués par les états étrangers et traités comme des diplômes étrangers et par conséquent doivent passer par le système d'équivalence. Le P-DG de l'Institut international de management relève à ce sujet que l'Algérie est l'un des pays qui ont les systèmes d'équivalence les plus difficiles. Ceci a des avantages et des inconvénients. Mais au-delà des diplômes, ajoute-il, un nouveau phénomène positif prend de l'ampleur dans le pays. Et d'expliquer : les entreprises et les personnes cherchent de plus en plus à bénéficier de formations qualifiantes, celles qui donnent de la compétence à la ressource humaine. A quoi sert d'avoir un diplôme homologué pour être chômeur. A. Lamiri estime qu'aujourd'hui les entreprises et les personnes cherchent plutôt les savoir-faire et les savoir-être. L'entreprise et la mise en réseau, l'Insim en fait une de ses priorités. L'institut a été intégré dans des programmes de coopération officiels, tels que le programme PME Conform entre GTZ Allemagne et le ministère de la Formation professionnelle pour monter un réseau d'écoles de formation de consultants PME qui devaient prendre en charge le programme de mise à niveau dans le pays. Abdelhak Lamiri cite aussi le programme FDSP entre l'Algérie et le Canada qui a permis à l'Insim d'installer des structures de conseil en son sein. L'Insim, ajoute son P-DG, a toujours bénéficié de plusieurs programmes officiels internationaux qui lui ont permis de rehausser la qualité de sa formation et sa contribution à l'amélioration de l'environnement national. Grâce au programme GTZ, l'institut a orienté ses formations vers l'entrepreneurship. Ainsi, des centaines d'entreprises furent créées depuis 1997 (à peu près 1800) par les sortants de cet institut. M. Lamiri souligne que la plupart des programmes de collaboration avec l'étranger ont été établis sous l'égide des institutions publiques de l'état.
L'Insim a en fait bénéficié du financement des formateurs par les organismes officiels étrangers en partenariat avec des ministères algériens. Mais comment se font-ils payer les formateurs étrangers en Algérie ? Le P-DG de l'Insim explique qu'ils sont payés selon le mode de rémunération de services qui s'effectue à travers les services bancaires sous contrôle de la Banque d'Algérie. Et selon lui, les contrôles sont très sévères dans ce domaine, beaucoup plus que les modalités d'importation de biens.
Y. S.
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