Au début de cette saison, la direction technique nationale, relevant de la Fédération algérienne de football et présidée par Toufik Korichi, a arrêté une série de critères auxquels doivent se soumettre tous les postulants à un poste d'entraîneur en chef ou adjoint au sein des équipes de football de Ligues 1 et 2. À ce titre, l'entraîneur en chef et le premier adjoint sont contraints de justifier par un diplôme licence CAF A ou un diplôme équivalent international pour les coachs étrangers. En revanche, pour l'heure du moins, la DTN fait obligation au second adjoint d'être titulaire d'un diplôme CAF C. Il n'en demeure pas moins, selon une source fiable, que ces conditions d'accès au poste seront davantage durcies dès la saison prochaine. Il est annoncé que les qualifications du second adjoint seront alignées sur celles auxquelles sont assujettis les entraîneurs principaux. Ce qui revient à dire que les Madoui, Dziri, Menad, Bougherara, Bouali, pour ne citer que ces noms-là, doivent impérativement se mettre à niveau dans les prochains mois en perspective de la mise en application des nouvelles réformes de la FAF. Le cas échéant, faute d'avoir en poche le fameux diplôme, ils se retrouveraient fatalement au chômage.