Dans votre édition du 24 avril 2011, un article a été publié en page 3 sous le titre «Sandoz, un laboratoire au-dessus du lot». Dans votre édition du 24 avril 2011, un article a été publié en page 3 sous le titre «Sandoz, un laboratoire au-dessus du lot». Afin de pouvoir rétablir la vérité, à la demande de ma cliente, la société Sandoz Spa, je vous prie de bien vouloir faire publier ce présent droit de réponse : «L'entreprise Sandoz est installée en Algérie depuis plus de 40 années, plus connue alors sous sa précédente appellation «Biochémie». Elle dispose d'une filiale dont l'objet social et l'activité sont la production. Pour ce qui est des produits Sandoz non produits en Algérie, leur importation et leur distribution étaient assurées par des importateurs et distributeurs algériens. Il est vrai que depuis le second semestre 2010, Sandoz Algérie a ajouté à ses activités l'importation des produits finis du groupe Sandoz. De plus la distribution des produits Sandoz et/ou importés est assurée par des distributeurs. A ce titre, l'entreprise Sandoz tenant compte de la réglementation, du code de déontologie et des directives du groupe accorde aux distributeurs les marges auxquelles ils ont légalement droit et s'interdit de remettre des échantillons gratuits et encore moins d'accorder une quelconque ristourne. D'ailleurs, au-delà des interdictions légales, de telles pratiques sont totalement bannies dans tout le groupe Sandoz. Depuis son installation et surtout depuis la création de la filiale, Sandoz n'a jamais cessé d'investir afin d'assurer la production de ses médicaments en Algérie et cela, malgré les difficultés qu'elle a eu à rencontrer, le poids des créances qu'elle détenait sur ses clients récalcitrants. Même dans cette situation, elle a pu avoir un résultat équilibré et, pour les derniers exercices notamment 2010, avoir un résultat bénéficiaire qui sera publié après l'AGO conformément à loi. Afin d'éviter tout amalgame il serait utile de rappeler que Sandoz Spa, entreprise de droit algérien, est une entreprise privée dont les règles de fonctionnement obéissent au droit privé et qu'elle n'a de compte à rendre qu'aux actionnaires. Malgré cela et n'ayant rien à cacher, elle tient à préciser : -Que le choix de son PDG obéit à des règles strictes et est fait conformément au droit. -Que ses revenus sont déterminés par le conseil d'administration dans le respect des normes du Groupe et de la réglementation algérienne. -Que parmi les conditions est qu'il réside avec sa famille en Algérie, sa fille y étant d'ailleurs scolarisée. -Que ses déplacements vers l'étranger bien que nécessaires sont très réduits et cela uniquement en cas de nécessité, d'autant et surtout que, contrairement à ses concurrents, Sandoz Spa faisant partie d'un groupe dont le siège est en Allemagne, la nécessité est moindre. Une simple visite préalable du rédacteur de l'article nous aurait permis donner ces explications et aurait évité ce genre de désagrément. Toujours est-il que nous nous tenons à la disposition du journal pour apporter toute information et/ou communiquer tout document non frappé par le sceau de la confidentialité.