Il a suffit de quelques jours pour changer le paysage ukrainien. Record inégalé dans les mouvements de déstabilisation. Après les sanglantes émeutes qui ont secoué la place Maïdan à Kiev, voilà le président ukrainien Viktor Ianoukovitch destitué avec l'approbation des éternels prédateurs occidentaux. On annonce la mise en place d'un «gouvernement d'unité nationale en attendant d'éventuelles élections. Seulement voilà, dans ce bas monde rien ne peut échapper à l'attention des «curieux». Dans ce contexte, les médias ukrainiens ont rapporté qu'un ancien officier de l'armée israélienne a joué un rôle de premier plan dans les manifestations anti-gouvernementales dans l'ancienne république soviétique. Selon les rapports, un Israélien anonyme commande un groupe de 20 militants ukrainiens. Quatre autres Israéliens, qui avaient déjà servi dans l'armée, ont récemment rapporté avoir pris part à des rassemblements de l'opposition dans la capitale de l'Ukraine, Kiev. Ils sont nés en Ukraine, mais émigré en Israël et ont rejoint les forces armées avant de revenir au pays européen pour des manifestations. Pendant ce temps, les médias ukrainiens ont affirmé qu'un magnat israélien fournit un soutien financier à l'opposition en Ukraine, ajoutant que l'agence de renseignement Mossad israélien est l'un des instigateurs de l'agitation dans le pays. De sources bien informées cette agitation qui a abouti à la destitution du président Viktor Ianoukovitch serait motivée par le fait que ce dernier se soit abstenu de signer un accord d'association avec l'Union européenne le 29 Novembre 2013, en faveur de liens plus étroits avec la Russie. D'ailleurs, pour sa part, la Russie a accusé à plusieurs reprises l'Occident d'ingérence dans les affaires intérieures de l'Ukraine et d'alimenter la crise dans le pays. D'autres sources avancent qu'au début de février, une vidéo de quatre minutes a été postée sur Youtube par un utilisateur anonyme, dans lequel le sous-secrétaire d'Etat, Victoria Nuland, et l'ambassadeur américain à Kiev Geoffrey Pyatt parlaient des dirigeants de l'opposition de l'Ukraine qu'ils aimeraient voir au gouvernement. Cela dit , par besoin donc de trop cogiter pour trouver la «clé du mystère». Sur un autre plan, l'implication des sionistes dans ces diverses turbulences qui secouent la scène mondiale ne datent pas d'aujourd'hui. Trop de littérature politique a été consacrée à ces «révolutions» dont les instigateurs étaient des juifs. Depuis la révolution française, à la révolution russe à la guerre de sécession... et la liste est longue. A moins que l'on fasse preuve de cécité pour voir l'empreinte grossière des Rothschild, Rockefeller et leurs hordes de banksters au service de la cause sioniste.
