Quand on exige de vous de retourner votre veste, cela ne peut pas être perçue autrement que comme une insulte à votre personne, une atteinte à votre honneur et à vos principes ! Le journaliste Quentin Müller a raison de démissionner de "Marianne". Et puis quoi encore ! On titre même à ce sujet « Marianne, bientôt Tel-Aviv hebdo ? Le journaliste Quentin Müller refuse de plier... et claque la porte ». Bravo donc à Quentin Müller. C'est toute la politique partiale française qui est mise à nue !De l'extérieur, on voit parfaitement les changements en France : dans sa politique, son narratif, ses alliances, ses médias de grand chemin, ses pertes de souveraineté dans plusieurs domaines, ainsi que ses problèmes intérieurs (sociaux, économiques et politiques) et extérieurs avec l'Afrique surtout. L'Algérie semble le pays approprié pour détourner l'attention des Français : Sansal, Daoud et le nouveau délinquant analphabète (Boukhors de niveau 4 année primaire) utilisé dit-on « comme le ''levain'' d'une nouvelle manœuvre » et les menaces de sanctions, ne sont que des moyens de pression d'étourdis qui n'ont jamais donné de résultats que vers l'escalade dans le conflit. Sansal est vu en Algérie comme traître à son pays. C'est un idiot de service qui fait ce que les franco-sionistes lui demandent de faire et de dire ! Des journalistes ont assisté à son procès. On a rapporté qu'à chaque fois qu'il nie une accusation, le juge lui présente la preuve. Il a joué pour déstabiliser son pays, il a perdu ! "Malade", crie-t-on, n'est pas une justification ; il sera soigné là où il est ! On apprend aussi qu'il a bénéficié de la clémence des juges (5 ans au lieu de 10) ! Devenir traître à son pays, pour quels avantages ? S'il y a « avantages » pour son âge (75 ans) ! Il était Directeur Général au ministère de l'Industrie possédant une belle villa à Alger. Il vivait très correctement. On a su plus tard qu'il faisait de l'espionnage au profit de la France et d'Israël. Selon E. Djaâboub, ministre de l'Industrie à l'époque, il l'a écarté en raison de ses absences et de ses déplacements non autorisés à l'étranger. Sansal a fait des déclarations sales contre son pays et contre les Palestiniens lorsqu'il a visité « Israël » (avec le passeport… algérien SVP !). En Algérie, qu'il a rejoint par affront croyant en la protection de la France, il a été arrêté à l'aéroport. La veille de son départ pour Alger, il s'est réuni avec l'anti-algérien, le sulfureux Xavier Driencourt. L'a-t-on envoyé au ''casse pipe'' pour en faire un prétexte pour d'autres desseins ? Sans aucun doute ! Si Macron et son entourage insistent pour le faire libérer, c'est bien la preuve qu'il est leur protégé, leur agent. Edouard Philippe dit de lui qu'« il incarne tout ce que nous chérissons... ». Pour Marine Le Pen, c'est un « écrivain et citoyen français [qui] ne donne plus signe de vie... Le gouvernement français doit agir pour obtenir sa libération immédiate ». Macron lui a octroyé la nationalité française en juin 2024 avec une facilité déconcertante (tout comme Kamel Daoud). Ils s'ingénient pour défendre un Algérien condamné par la justice algérienne, alors qu'ils sont incapables de défendre et d'effacer l'odieuse humiliation lorsque leurs propres gendarmes ont été « tabassés » en Israël. L'ex-ministre de l'Industrie (où travaillait aussi Sansal) n'était autre que A. Bouchouareb, ami de Macron recherché par la justice pour des détournement de fonds (condamné à un total de 100 ans). Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. La France de Macron le protège en refusant de l'extrader. Du point de vue algérien, la France est dirigée par des Franco-Israéliens dont le cœur est israélien. L'administration française est quadrillée par des "Sayanim"; des Franco-sionistes au service du Mossad. Ils sont estimés entre 3.000 et 4.000 selon Jacob Cohen. Les véritables Français n'ont pas cette animosité envers l'Algérie et l'Islam. Les Algériens voient, en réalité, comme interlocuteurs des sionistes sous des habits français. Raison pour laquelle ils ne croient pas à de bonnes relations, avec ce gouvernement, dans un proche avenir. Un ministre de l'Intérieur qui fait fonction de ministre de l'Extérieur sans que ce dernier ne dise mot ? Même dans une République dite « bananière » ça n'existe pas ! Prétendent-ils faire de la « haute politique » avec l'Algérie en le laissant manipuler dernièrement, en plus, un autre délinquant algérien (bien connu à Tiaret, n'ayant pas dépassé le niveau primaire) résidant en France, qu'ils présentent « opposant et/ou journaliste » alors qu'il n'est qu'un voyou, escroc, inculte, et autres choses de sale sur sa vie privée (pour rester correct). Lire aussi cet article datant de 2022. Est-ce une attitude raisonnable et intellective de la part d'un ministre d'une « République » que d'ordonner à sa DGSI l'arrestation en public d'un agent consulaire, foulant aux pieds les conventions internationales, juste au retour de M. Barrot d'Alger ? (Une arrestation en lien avec cet ignare de Boukhors). Comment veulent-ils qu'Alger leur fasse confiance lorsque ce même Barrot donne raison à Retailleau tout en réitérant avec culot la « poursuite du dialogue » ! Quelle déchéance ! La politique française, est perçue comme un bateau en dérive, naviguant à vue. Le ministre Retailleau s'est engagé dans un affrontement avec l'Algérie pour des objectifs égotistes de politique intérieure, il ne s'en sortira pas sans de sérieux dommages dans un avenir très proche, quelle qu'en soit l'issue. Le 1er acte de bonne volonté que peut faire M. Macron est d'évincer cet hurluberlu révisionniste – qui ne sait pas distinguer l'intérieur de l'extérieur et qui aime parler des « bonnes heures de la colonisation » – comme le demande un député français ! C'est l'abcès de fixation qu'il faut extirper ! Ce qui est cependant fort douteux, car il y a un jeu de rôle jeu dont le guide est le Président Macron. Ce qui n'a pas échappé aux Algériens depuis le début. On verra bien s'ils vont obtenir « tout » ou « rien » ! Si l'orgueilleux M. Retailleau vaut plus que les relations algéro-françaises, même s'il en fait une affaire personnelle, alors grand bien leur fasse ! Dans ce cas, il n'y a pas de « dialogue à poursuivre », et que chacun s'occupe de son »cheptel » en assumant la responsabilité éventuelle d'une rupture entre les deux peuples dont une grande partie de Français et de Franco-Algériens ont des liens de parenté ! Un jour proche arrivera où la France des patriotes (ils n'en manquent pas) dégageront ces « Sayanim » dirigés par des cupides, des escrocs, des manipulateurs, des fourbes aussi nuisibles que les islamo-salafo-takfiro-intégristes qu'ils se vantent combattre, mais qu'ils soutiennent et arment ailleurs. Certains s'offusquent des insultent et provocations tout en s'interrogeant sur la nature des menaces et les conséquences sur l'Algérie. Ce ne sont que des forfanteries, car les leviers ne sont pas en France. En fait, ces détracteurs peuvent dire tout ce qu'ils pensent de mal sur les Algériens, ses gouvernants, ses ''services'', son Armée, son "système", son "régime" etc. ils s'en foutent royalement ! Ils sont comme ce sage que l'on avertit que sa corde vient d'être emporté par la rivière, il répond sans inquiétude : «Je tiens le bout !» On rapporte que les autorités algériennes observaient, depuis longtemps, les manigances des acteurs qui s'emploient à saboter les relations algéro-françaises, à menacer, à susciter le doute et la crainte. Ils auraient laissé faire afin que la faute vienne de la partie française. Comme dit un proverbe algérien « d'un homme dont je connais le père, le fils ne peut me faire peur ». A suivre donc...